En Belgique, le concours d’entrée en médecine fait face à une crise de confiance sans précédent. Le taux de réussite a explosé, passant de 19 % à un niveau jugé irréaliste de 47 % en l’espace d’une année seulement, soulevant de forts soupçons de triche massive. Au cœur des accusations : l’utilisation d’outils d’intelligence artificielle par les candidats. Face à cette situation, plusieurs étudiants ayant échoué ont décidé de saisir la justice pour demander une enquête approfondie, faisant vaciller l’un des examens les plus sélectifs du pays.
Un taux de réussite qui défie les statistiques
L’examen d’entrée en médecine en Flandre a toujours été réputé pour sa difficulté. Pourtant, les résultats de la dernière session ont de quoi surprendre. Sur les 5 544 étudiants qui se sont présentés, près de la moitié a réussi, un chiffre radicalement différent des années précédentes. Cette hausse spectaculaire interroge tant les organisateurs que les participants.
Pour de nombreux observateurs, une telle progression est statistiquement improbable sans l’intervention d’un facteur externe. « Ce taux de réussite signifierait que les étudiants inscrits cette année étaient tous incroyablement préparés. C’est impossible », estime une spécialiste de l’encadrement des étudiants, qui précise que la difficulté du concours n’a pas été revue à la baisse.
- 2022 : 19 % de réussite sur 4 814 candidats.
- 2023 : 37 % de réussite sur 4 545 candidats.
- 2024 : 47 % de réussite sur 5 544 candidats.
L’intelligence artificielle, complice silencieuse des candidats ?
La question de l’utilisation de l’intelligence artificielle est au centre de toutes les attentions. La technologie a évolué à une vitesse fulgurante, rendant la triche plus accessible que jamais. Auparavant, il fallait des manipulations complexes pour tromper la surveillance, mais aujourd’hui, les outils sont bien plus discrets et performants.
Les soupçons sont d’autant plus forts que des cas de fraude avérés ont déjà été sanctionnés. Pour la première fois, trois étudiants ont été officiellement exclus après avoir été surpris en train d’utiliser une IA pendant l’épreuve. Sur les réseaux sociaux, d’autres témoignages anonymes affirment avoir pu contourner la surveillance sans être inquiétés.
La riposte s’organise face à une fraude numérique complexe
Face à ce qui s’apparente à une injustice, la mobilisation ne s’est pas fait attendre. Au moins six candidats ont officiellement déposé une réclamation auprès du comité d’admission pour contester les résultats et demander une enquête. Ils estiment que l’égalité des chances n’a pas été respectée.
De son côté, le jury de l’examen se trouve dans une situation délicate. Le passage des épreuves au format numérique, sur des milliers d’ordinateurs différents, rend la vérification exhaustive quasiment impossible. « Nous ne pouvons pas vérifier l’historique de recherche de chaque participant », explique le président du jury, soulignant la complexité logistique d’une telle opération. Une excuse jugée irrecevable par certains, qui estiment que le format numérique devrait au contraire faciliter l’analyse des données.
Type d’examen | Avantages | Risques de fraude |
---|---|---|
Examen sur papier (ancien format) | Contrôle physique direct, surveillance centralisée. | Antisèches traditionnelles, communication discrète. |
Examen en ligne (nouveau format) | Logistique simplifiée, correction automatisée. | Utilisation d’IA, partage d’écran, accès à des ressources externes. |
Quel avenir pour le concours et ses lauréats ?
La situation actuelle pose un problème majeur : même avec un taux de réussite record, le nombre de places en faculté de médecine reste limité. Seuls 1 740 étudiants seront admis cette année, ce qui signifie que près de 900 candidats ayant réussi l’examen seront tout de même refusés. L’incertitude plane donc sur la légitimité de l’ensemble du processus de sélection.
Le jury a annoncé vouloir étudier des solutions pour renforcer la sécurité du système dès l’année prochaine. Parmi les pistes envisagées :
- L’utilisation de logiciels de surveillance plus performants.
- Le retour partiel à des épreuves sur des ordinateurs fournis et contrôlés par l’organisation.
- L’intégration de questions nécessitant un raisonnement complexe, plus difficile à automatiser par une IA.
Cependant, pour la promotion actuelle, il est peu probable que les injustices suspectées soient réparées, laissant un goût amer à de nombreux aspirants médecins.
C’est terrifiant. On imagine mal comment évaluer la compétence réelle des futurs médecins si l’IA fausse tout. Ça remet en question la valeur du diplôme.
47% ? C’est énorme ! Ça me fait penser à ces émissions où on dévoile les secrets des magiciens. L’illusion se brise, et on se demande si tout ça vaut encore le coup.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est pas tant la triche, mais l’adaptation du système. L’IA est là, autant l’intégrer intelligemment dans l’évaluation, non ?
En tant que patient, j’ai surtout peur de me retrouver face à un médecin qui a réussi grâce à ChatGPT. La confiance, c’est primordial.
Ça prouve qu’on se focalise trop sur la mémorisation pure. Peut-être qu’on devrait évaluer la capacité à résoudre des problèmes avec les outils à disposition, IA comprise.
On forme des médecins, pas des champions de QCM. L’empathie et le jugement clinique, l’IA peut pas (encore) les simuler.
Et si le problème n’était pas l’IA, mais le concours lui-même ? On force des jeunes à bachoter comme des malades pour une épreuve unique. C’est ça qu’il faut revoir.
C’est le serpent qui se mord la queue. On veut sélectionner l’élite, mais on crée un système qui incite à contourner les règles.
J’espère juste que les patients ne seront pas les cobayes de cette « génération IA ». Ça fait flipper.
Si le concours devient un jeu d’optimisation IA, on risque de perdre des profils atypiques et brillants qui n’excellent pas dans ce type d’épreuve.
C’est peut-être le signe que la médecine elle-même va changer. On aura peut-être besoin de moins de « sachants » et plus d’interprètes des données fournies par l’IA.
On se plaint de manquer de médecins, et on se focalise sur un concours manifestement obsolète… Cherchons plutôt comment former plus de soignants compétents, peu importe la méthode d’entrée.
Un concours qui crée autant d’anxiété, c’est déjà un problème en soi. On devrait peut-être se concentrer sur le bien-être des futurs médecins avant tout.
C’est dingue de penser que l’IA peut déjà fausser des concours aussi importants. On dirait un film de science-fiction qui devient réalité.
Peut-être que l’IA révèle juste les failles du système de sélection actuel.
Le concours, c’est juste la première épreuve. La vraie question, c’est comment ils vont gérer l’IA dans les études et la pratique après.
Ça me rappelle les tricheries aux examens.
Je me demande si cette affaire ne va pas forcer les facs à enfin moderniser leurs méthodes d’enseignement, au-delà du concours.
L’accès aux études de santé, c’est déjà la guerre. Si en plus l’IA s’en mêle, ça devient n’importe quoi.
J’ai l’impression que ce concours est devenu un test de « débrouillardise » plus qu’autre chose.
Ça me fait penser que la définition de l’intelligence et de la compétence en médecine est peut-être à redéfinir.
C’est quand même triste d’en arriver là. L’éthique, c’est déjà un problème avant même de devenir médecin.
Bientôt, on ne saura plus si on parle à un humain ou à une machine.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la perte de valeur du diplôme. Si l’entrée est faussée, ça décrédibilise tout le parcours.
Je suis surtout inquiet pour les patients. Si l’IA prime sur la compréhension, qui soignera l’humain derrière la maladie?
Si l’IA peut répondre aux questions du concours, peut-être que les questions ne sont pas les bonnes.
C’est dommage que la pression pousse à de telles extrémités.
On focalise sur l’IA, mais la pression sur les jeunes pour réussir à tout prix est peut-être le vrai problème de fond.
Un concours à 47% de réussite, c’est un aveu d’échec pour la sélection. On devrait peut-être repenser complètement l’évaluation des futurs médecins.
C’est un symptôme de notre époque, non ? On cherche le raccourci, même dans des domaines aussi cruciaux.
Je me demande si on ne devrait pas évaluer les futurs médecins sur leur capacité à collaborer avec l’IA, plutôt que de la contourner.
En tant que patient, je me demande si le diagnostic sera bientôt fait par une IA et non par un médecin. Ça fait froid dans le dos.
Un concours devenu une course à l’armement technologique… Ça dénature complètement l’objectif initial, non ?
Moi, je suis surtout déçu. On dirait qu’on oublie le serment d’Hippocrate avant même d’y prêter serment.
Ce concours, c’était déjà un enfer psychologique. L’IA ne fait qu’exacerber une compétition malsaine.
Franchement, je suis plus choqué par le gouffre entre 19% et 47% que par l’IA elle-même.
En France, on a le même genre de stress avec Parcoursup. On devrait peut-être plus valoriser l’empathie que la performance brute.
Ou peut-être est-ce que le métier de médecin ne sera plus jamais…
C’est assez ironique. On se méfie de l’IA qui pourrait remplacer les médecins, mais c’est elle qui révèle les failles du système de sélection.
Peut-être qu’on teste mal les qualités vraiment nécessaires pour exercer ce métier.
Je plains ces jeunes. Imaginer sa vocation compromise par une faille technologique, c’est terriblement injuste.
J’espère que les patients ne deviendront pas des cobayes pour des médecins formés par ChatGPT.
Si l’IA a nivelé les chances, c’est peut-être que ce concours était déjà injuste à la base.
Ce qui m’inquiète le plus, c’est la pression mise sur des jeunes pour un métier déjà hyper exigeant. On dirait qu’on les pousse à la triche dès le départ.
On se focalise sur la triche, mais personne ne parle du programme du concours lui-même. Est-il encore pertinent face aux avancées de la médecine ?
Ce qui est fou, c’est qu’on forme des futurs soignants dans un climat de suspicion et de course à la performance. Quelle ironie !
Le concours est peut-être devenu une épreuve de « comment contourner le système » plus qu’autre chose.
Si l’IA est si performante, pourquoi ne pas l’intégrer à la formation ? Former des médecins assistés par IA, c’est peut-être l’avenir, non ?
Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on dirait qu’on parie sur le mauvais cheval. On devrait chercher des vocations, pas des cracks aux examens.
On dirait que ce concours est une course à l’échalote. L’IA a juste mis en lumière un problème plus profond de sélection.
Peut-être que l’échec à ce concours n’est pas une fin en soi.
Franchement, ce concours, c’est un peu la roulette russe. On mise tout sur un seul examen, alors que la médecine, c’est tellement plus que ça.
C’est navrant de voir des vocations se briser sur un test.
La médecine devrait attirer les altruistes, pas les pros de l’optimisation algorithmique. Triste époque.
L’IA révèle surtout que le concours est devenu un jeu, loin de la réalité du terrain médical.
Ça me rappelle les prépas en France, cette ambiance de compétition malsaine. On oublie le patient, le soin, l’humain.
En France, on a le même problème avec Parcoursup, l’IA ne fait qu’amplifier les inégalités.
Un concours qui favorise ceux qui savent utiliser l’IA plutôt que ceux qui ont l’empathie nécessaire, c’est un peu inquiétant.
Je suis plus inquiet pour les patients. Si des étudiants entrent en médecine grâce à l’IA sans les compétences réelles, qui va payer l’addition à terme ?
Peut-être que ce concours est juste un indicateur dépassé. La capacité à s’adapter et à utiliser les outils modernes est aussi une compétence.
En tant que parent, je me demande quel signal on envoie aux jeunes. « Débrouillez-vous, trichez si vous pouvez » ? Ça me désole pour leur futur sens moral.
C’est la fin d’un monde, non ? On formate des futurs médecins, et l’IA nous montre que la machine peut déjà faire mieux.
Moi, ce qui me frappe, c’est la rapidité avec laquelle l’IA change la donne. On n’a pas le temps de s’adapter, on dirait !
Ce n’est pas l’IA le problème, mais la pression folle mise sur ces étudiants. On leur demande l’impossible, normal qu’ils cherchent des raccourcis.
Peut-être qu’on devrait se concentrer sur ce que l’IA *ne peut pas* remplacer chez un médecin : l’intuition, le contact humain. Le concours devrait évaluer ça.
Moi, je me demande si cette « crise » n’est pas une opportunité pour repenser l’enseignement médical. On pourrait peut-être introduire l’IA comme un outil, pas un ennemi.
L’IA qui réussit le concours, c’est presque de la science-fiction qui devient réalité. Drôle d’époque.
Je me demande si le problème n’est pas *quand* on fait passer ce concours, trop tôt ?
C’est fou, on dirait que le concours lui-même a besoin d’un lifting complet, version 2.
Ça me rappelle les tricheries au bac, mais à une échelle bien plus grave. On parle de la santé des gens, quand même.
J’avoue que ça me fait froid dans le dos. On confie notre santé à des gens formés par une IA ? C’est flippant.
Je suis surtout inquiet pour les patients. Si le concours ne filtre plus correctement, qui va payer les pots cassés ?
Le problème, c’est peut-être qu’on évalue la mauvaise chose ? La capacité à recracher des connaissances, alors que la médecine, c’est tellement plus…
Ce qui me sidère, c’est que le concours soit resté inchangé face à l’évolution de l’IA. On dirait qu’on a fermé les yeux sur une évidence.
C’est quand même dingue qu’on en arrive à se méfier du résultat d’un concours. On perd le sens de la valeur du diplôme.
Je me demande si les profs sont aussi démunis que nous face à cette nouvelle donne.
Si même l’élite utilise l’IA pour entrer en médecine, imaginez les autres domaines… Ça remet tout en question.
On nous parle toujours du futur, mais on n’est pas prêts.
Je suis surtout triste pour ceux qui ont bossé dur et honnêtement, et qui se retrouvent lésés. Tout ce travail gâché…
C’est un peu comme si on avait mis les clés de la voiture à une intelligence artificielle. Elle sait conduire, mais on est sûr qu’elle respecte le code de la route ?
Et si on formait l’IA à détecter l’IA ? Ironique, mais peut-être la solution.
Ce n’est pas juste un problème de médecine, c’est la confiance dans tout le système éducatif qui est touchée.
Je me demande si on ne devrait pas tester l’empathie et l’éthique, plutôt que seulement les connaissances. La médecine, c’est avant tout un métier humain.
C’est la course à l’échalote, et l’IA est le nouveau dopant. La vraie question, c’est : que devient l’apprentissage dans tout ça ?
J’y vois surtout une immense pression sur les jeunes. Ils sont prêts à tout pour réussir, c’est triste.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur la relation patient-médecin. Est-ce qu’on va confier notre santé à des algorithmes ?
Ce qui me frappe, c’est la rapidité avec laquelle l’IA a court-circuité un système qu’on pensait solide. On doit repenser nos évaluations, c’est clair.
J’ai l’impression qu’on transforme l’admission en médecine en un jeu, et que le but n’est plus de soigner.
Ça sent la panique, mais peut-être qu’il faut juste revoir le format du concours, pas forcément diaboliser l’IA.
Moi, ça me fait penser aux concours truqués qu’on voit dans les films. Sauf que là, c’est la réalité et c’est flippant.
C’est pas juste un concours, c’est l’avenir de la santé.
Voir un taux de réussite exploser comme ça, ça décrédibilise complètement les efforts de beaucoup.
Ça me rappelle les tricheries aux examens quand j’étais étudiant, mais à une échelle industrielle !
Ça me fait froid dans le dos. On se bat pour l’accès à la santé et on voit ça.
Si même les futurs médecins trichent, on va où ?
On se focalise sur l’IA, mais le problème, c’est le système qui pousse à ça.
Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on parle de triche alors qu’on devrait peut-être se demander si le concours mesure vraiment les qualités d’un bon médecin.
Bof, le serment d’Hippocrate commence tôt finalement. Est-ce qu’on peut vraiment blâmer les étudiants de chercher la facilité dans un système ultra-compétitif ?
On devrait surtout se demander si ces étudiants, une fois diplômés, auront la conscience professionnelle nécessaire.
On dirait qu’on découvre que l’excellence peut s’acheter. Triste constat.
L’IA révèle surtout une angoisse profonde face à la sélection. On instrumentalise la technologie pour masquer une peur de l’échec.
Si l’IA réussit le concours, ça veut dire qu’elle est plus performante que les humains sur ce test. Le problème, c’est peut-être le test, non ?
Personnellement, ça me fait penser que la médecine devient une course à l’échalote, et ça me décourage un peu pour l’avenir.
Ce qui m’inquiète, c’est la perte de valeur du diplôme. Si l’IA ouvre les portes si facilement, qu’est-ce qui garantit la compétence réelle des nouveaux médecins ?
C’est un peu comme si on automatisait la vocation, non ? Drôle d’époque.
Peut-être qu’on devrait évaluer l’empathie, pas seulement la capacité à répondre à des QCM.
C’est le signe que l’accès aux études de médecine est devenu une telle obsession qu’on en oublie l’humain derrière.
Je suis perplexe. On dirait qu’on s’étonne que des jeunes utilisent les outils à leur disposition. C’est peut-être naïf de penser que la technologie n’impacterait pas l’enseignement.
Franchement, ça me rappelle ces triches aux examens quand j’étais au lycée. Sauf que maintenant, c’est l’IA qui fait le sale boulot.
C’est dommage, on dévoie un peu l’idée de la vocation médicale.
Ça me fait bizarre de penser que l’IA puisse décider qui soigne qui. On confie notre santé à des algorithmes, c’est fou.
Est-ce que la médecine est encore une question de connaissances brutes si l’IA peut les régurgiter ? Ça force à se poser la question.
Moi, ce qui me frappe, c’est le gâchis. On a des jeunes prêts à tout pour entrer, et un système qui semble les y pousser, quitte à dénaturer le métier.
En tant que patient, ça me fait surtout flipper pour les diagnostics futurs. L’IA peut-elle vraiment remplacer le flair d’un médecin ?
En France, on a le même genre d’angoisses avec Parcoursup, c’est la même logique de sélection impitoyable qui pousse à tous les excès.
Si l’IA aide à passer le concours, elle ne fera pas les gardes de nuit à leur place. La réalité du terrain risque d’être un choc.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est que ça crée une génération de médecins formatés.
On se focalise trop sur la sélection et pas assez sur la formation continue.
Ça remet en question la valeur du diplôme, non ? Si l’IA ouvre les portes, est-ce que le sésame a encore le même poids ?
Je me demande si cette affaire ne révèle pas surtout les failles du concours lui-même. Peut-être qu’il n’évalue pas les bonnes compétences.
C’est le serpent qui se mord la queue : on veut des médecins, on crée des goulots d’étranglement, et après on s’étonne que les gens trichent. Peut-être qu’il faudrait former plus de monde, tout simplement.
C’est un peu comme si on avait donné la calculatrice à tout le monde en plein examen de maths, mais sans prévenir. Le résultat est biaisé, forcément.
C’est fou comme la technologie change la donne. On se concentre sur la triche, mais peut-être que ça force la médecine à évoluer aussi.
Je suis infirmier, et je vois déjà l’IA comme une aide précieuse au quotidien. Peut-être que cet examen devrait tester comment les futurs médecins utilisent ces outils intelligemment, plutôt que de les interdire.
Je suis partagé. D’un côté, l’idée que l’IA démocratise l’accès aux études est séduisante. De l’autre, je crains une perte d’humanité dans la profession.
Je trouve ça ironique que l’IA, outil censé nous aider, devienne une arme dans une course à la réussite. La pression est tellement forte que l’éthique en prend un coup.
En tant que parent, je me demande quel message on envoie à nos jeunes. L’ambition oui, mais à quel prix ?
C’est une course folle. On dirait qu’on oublie le serment d’Hippocrate au profit de la performance pure.
La triche a toujours existé, mais l’IA la rend industrielle.
J’ai l’impression qu’on met le doigt sur un malaise profond de notre société : la performance à tout prix, quitte à contourner les règles.
Si l’IA réussit mieux le concours que les humains, peut-être que le concours lui-même est obsolète ?
Ce qui m’inquiète, c’est la définition même du « bon » médecin. Si l’IA prime, on valorise la mémorisation, pas l’empathie.
Le problème n’est pas tant l’IA que la pression absurde mise sur les jeunes.
Si l’IA fausse les résultats, on risque de se retrouver avec des médecins « formatés » et moins capables de s’adapter aux situations complexes.
Et si on se demandait si le problème ne venait pas de la nature même des questions posées à ce concours ? Peut-être qu’elles sont trop facilement « IA-compatibles ».
Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on panique à cause de l’IA, mais on ne remet pas en question le bachotage infernal qui prépare à ce concours.
C’est dommage de réduire la médecine à un concours où l’IA peut tricher. On devrait évaluer la motivation et la vocation, pas juste des connaissances brutes.
Moi, ce qui me dérange, c’est cette idée que l’IA « triche ». C’est un outil. On devrait plutôt se demander comment on l’intègre intelligemment dans la formation.
La médecine, c’est avant tout une relation humaine. Si on remplace l’humain par une machine, on perd l’essentiel.
L’IA révèle une faille béante : on sélectionne des champions de QCM, pas forcément des soignants.
On est en train de créer des docteurs robots, pas des humains qui comprennent la douleur.
Ça me rappelle les scandales de triche aux examens, mais en version futuriste. Le stress du concours doit être infernal pour en arriver là.
Franchement, ça me fait peur pour les patients futurs. On va se retrouver avec des diagnostics parfaits, mais une absence totale d’écoute.
C’est fou comme on se focalise sur la triche. Moi, je me demande surtout si ce concours est encore pertinent pour sélectionner les *bons* futurs médecins.
Un concours truqué, c’est triste, mais ça ne me surprend pas. La pression est telle… J’espère que les plaintes aboutiront.
Je suis curieux de voir comment les facultés vont réagir. Vont-elles vraiment revoir le concours de fond en comble ou se contenter de mesures superficielles anti-IA ?
Ce qui m’inquiète le plus, c’est la compétition exacerbée. On oublie que la collaboration est cruciale en médecine.
Ce concours, c’est le premier tri, mais est-ce vraiment le bon ? On dirait qu’on fabrique des experts en examens, pas forcément des futurs soignants empathiques.
47% ? C’est absurde. On va se retrouver avec des promo entières formatées à l’IA.
Le problème, c’est qu’on valorise trop la performance brute et pas assez l’intuition.
Moi, ce qui me frappe, c’est le gâchis. Des jeunes bourrés de potentiel, réduits à contourner un système qu’ils perçoivent comme injuste.
Ça me fait penser à une course à l’armement technologique. Le système s’adapte, la triche aussi. On est dans une spirale sans fin.
Moi, je me demande si le problème n’est pas la nature même des connaissances évaluées. On teste peut-être des choses que l’IA maîtrise mieux que l’humain, tout simplement.
Ça en dit long sur notre société qui pousse à la performance à tout prix, même en médecine. On oublie l’humain derrière le diplôme.
Si même l’accès à la médecine devient un jeu de dupes, où va-t-on ? Ça dégoûte.
On forme des génies de l’optimisation, pas des soignants. C’est ça, le progrès ?
C’est triste de voir des études aussi importantes se réduire à ça.
C’est effrayant de penser qu’un algorithme pourrait choisir nos futurs médecins. Qu’advient-il du jugement clinique, de l’instinct?
On dirait qu’on est plus préoccupés par la méthode que par le but.
Au fond, ça ne m’étonne pas. La pression est telle…
Peut-être que cet « échec » révèle une faille dans notre définition du « bon » médecin.
Je me demande si l’IA ne force pas à repenser ce qu’on attend réellement des futurs soignants.
Moi, je me demande si on ne surestime pas l’impact réel de l’IA sur le terrain. Un bon médecin, c’est bien plus qu’un algorithme qui recrache des réponses.
On devrait peut-être s’interroger sur la finalité de l’enseignement médical, au-delà de la simple réussite à un concours.
Peut-être que cette affaire pointe vers un besoin criant de réforme, pas juste une adaptation aux IA.
C’est désolant. On dirait qu’on transforme l’empathie, qualité première d’un médecin, en compétence optionnelle.
L’IA comme béquille, ça interroge. On forme des experts à l’outil, pas forcément des soignants humains.
J’imagine la panique dans les facs ! On se focalise sur l’IA, mais peut-être que le concours lui-même est obsolète.
Et si, au lieu de diaboliser l’IA, on voyait ça comme un signal d’alarme sur le système éducatif ? On bourre les crânes, point.
Le concours est devenu une course à l’échalote, plus qu’une évaluation des vocations.
Ça me fait penser aux tricheries au bac, version 2.0. Le diplôme perd de sa valeur, c’est dommage pour ceux qui bossent dur.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’idée qu’on puisse automatiser un métier aussi humain. On parle quand même de la santé des gens.
Un concours aussi sélectif attire forcément la triche, IA ou pas. Le problème est plus profond.
C’est symptomatique d’une société où la performance prime sur l’éthique.
Si on autorise l’IA, autant tirer au sort. Ça deviendrait plus honnête, au moins.
Franchement, ça révèle surtout une sacrée pression sur les jeunes. Réussir à tout prix, quitte à contourner les règles. C’est triste.
C’est la fin de l’idée qu’on se fait d’un médecin, non ? Avant, c’était l’abnégation, maintenant…
Un jour, on aura des IA qui soignent directement, et ça posera bien d’autres questions.
Un taux de réussite pareil, c’est la crédibilité du diplôme qui s’effondre. Qui voudra être soigné par un médecin « boosté » à l’IA ?
Le problème, c’est pas l’IA, c’est qu’on a transformé la médecine en une compétition individualiste. On perd le sens du soin.
On se concentre sur le symptôme (l’IA), pas sur la maladie (la pression inhumaine).
Bientôt, on mesurera l’intelligence d’un médecin à sa capacité à utiliser l’IA, plus qu’à son savoir brut. C’est une évolution, pas forcément une catastrophe.
Et si on revoyait le format du concours ? Évaluer l’empathie, la capacité à communiquer, ça se triche moins, non ?
C’est pas tant l’IA qui me choque, mais qu’on n’ait pas vu venir le truc. On vit dans quel monde ?
C’est fou, on dirait que le concours est devenu un test de « maîtrise de l’IA » plutôt qu’un test de connaissances médicales. Lequel est le plus important pour un futur médecin, au fond ?
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le signal envoyé aux futurs patients : on valide des compétences acquises artificiellement.
La médecine, c’est aussi un art.
Moi, je me demande si ce concours était vraiment un bon filtre au départ. Peut-être que cette « crise » est l’occasion de repenser complètement l’accès aux études de médecine.
Moi, je me demande si la définition même de « mérite » n’est pas en train de changer. On valorise quoi, au juste ?
Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on cherche à colmater les brèches au lieu de se demander pourquoi tant d’étudiants ressentent le besoin de tricher. Il y a un malaise profond derrière ça.
C’est assez effrayant de penser que la porte d’entrée en médecine puisse être si facilement contournée. On parle de la santé des gens, quand même!
La médecine, c’est avant tout une vocation. Si on en arrive à tricher avec l’IA pour y accéder, la vocation est déjà bien abîmée, non ?
Peut-être que l’IA révèle surtout les faiblesses d’un système d’évaluation obsolète, focalisé sur la mémorisation pure. On teste la bonne capacité à ingurgiter, pas l’intelligence clinique.
Moi, je me dis que ces étudiants ont peut-être simplement compris comment optimiser leur apprentissage avec les outils disponibles.
Moi, je trouve ça un peu ironique. On utilise l’IA pour diagnostiquer des maladies, mais elle pourrait bien être la maladie du système éducatif.
Ce boom de réussite me rappelle les cours particuliers à outrance. On crée une inégalité d’accès, mais cette fois, l’inégalité est dans la maîtrise de l’IA.
J’ai toujours pensé que ce concours décourageait beaucoup de bons profils. Peut-être que l’IA, paradoxalement, ouvre un peu plus le jeu.
C’est la panique à bord ! On dirait que le futur médecin sera aussi bon en IA qu’en anatomie.
Ça me fait penser aux devoirs à la maison qu’on faisait faire par les « grands » : l’important, c’est d’apprendre, pas la manière d’y arriver, non ?
Et si l’IA était juste un révélateur que le concours, en fait, n’évalue pas les bonnes compétences ?
Moi, ça me fait juste flipper pour le futur. Si l’éthique commence à la porte de la fac, où va-t-on ?
C’est quand même dingue qu’on en soit là. On dirait qu’on juge plus l’accès à la profession que la capacité à l’exercer correctement.
Si le concours est contournable, c’est qu’il y a un problème de fond sur ce qu’on attend vraiment d’un futur médecin.
J’espère juste que les patients ne seront pas diagnostiqués par ChatGPT dans quelques années.
C’est fou de voir comment la triche s’adapte si vite aux nouvelles technologies.
Ça remet en question la valeur même du diplôme, non ? Si tout le monde peut l’avoir…
Peut-être qu’il faut repenser les études de médecine en profondeur, en fait.
Je me demande si on ne devrait pas se concentrer sur l’accompagnement des étudiants plutôt que sur une sélection aussi brutale.
En tant que parent, je me demande si toute cette pression ne pousse pas les jeunes à bout. Le concours, c’est une chose, la santé mentale en est une autre.
Franchement, ça me rappelle les concours de prépa. On se bat pour une place, mais est-ce que ça fait de nous de meilleurs médecins ?
J’ai toujours pensé que l’empathie ne s’apprenait pas avec des QCM. Peut-être que ce fiasco est une chance de revenir à l’humain.
Je suis plus inquiet pour les étudiants honnêtes qui se sont démenés. Leur mérite est dilué.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’inégalité que ça crée. Ceux qui avaient les moyens d’utiliser l’IA ont cartonné, les autres…
Ce qui me dérange, c’est qu’on dirait qu’on se focalise sur la triche et pas sur le fait que l’IA peut peut-être aider à mieux comprendre la médecine.
C’est le système qui est à blâmer, pas forcément les étudiants. On leur met une pression énorme.
Peut-être que le concours n’est plus adapté à l’époque et qu’il faut évoluer.
Le concours, c’est la porte, mais la vraie question c’est : est-ce qu’on forme des soignants ou des champions de QCM ?
C’est quand même ironique. On veut des médecins à la pointe, mais on panique dès qu’ils utilisent des outils modernes pour y arriver.
Si l’IA est si performante, peut-être que le concours mesure les mauvaises compétences.
C’est pas rassurant. On dirait que même l’accès aux études est devenu une course à l’armement technologique.
L’IA a révélé une faille, c’est certain.
C’est le rêve d’une génération de médecins qui s’écroule, remplacé par un algorithme. Triste constat.
Moi, je me demande si le métier de médecin est encore un sacerdoce ou juste une carrière bien payée.
On se plaint du manque de médecins et on met des bâtons dans les roues à ceux qui veulent en devenir… Cherchez l’erreur.
J’ai toujours pensé que l’empathie ne s’apprenait pas avec des algorithmes. L’IA peut aider, mais remplacer l’humain ? J’en doute.
Le concours est peut-être devenu un jeu qu’on peut « gagner » sans avoir l’étoffe d’un soignant. Ça me fait peur pour la qualité des soins de demain.
En France, on a le même genre d’angoisses avec Parcoursup. L’IA accentue juste une pression déjà énorme sur les jeunes.
C’est fou de penser qu’un outil peut remettre en question des années d’études.
Et si, au lieu de crier à la triche, on se demandait si l’IA n’a pas juste rendu ce concours obsolète ?
Franchement, ce taux de réussite, ça questionne.
Je suis curieux de voir comment les universités vont adapter leurs méthodes d’évaluation face à cette nouvelle réalité. La question de l’éthique se pose avec acuité.
Ça me rappelle les tricheries au bac, en pire. On est tous capables de s’adapter, mais là, c’est l’équité qui est touchée.
Ce serait bien de voir les sujets du concours, pour comprendre comment l’IA a pu aider.
On forme des techniciens ou des soignants ? La question est là, non ?
Peut-être que ce concours teste les mauvaises compétences…
Ça va changer la donne pour tous les concours, pas que médecine.
Et si l’IA révélait surtout les faiblesses d’un système d’évaluation dépassé ?
C’est symptomatique d’une société qui valorise la performance brute au détriment du raisonnement.
L’IA a juste mis le doigt sur un problème plus profond : l’évaluation est déconnectée de la réalité du métier.
Si 47% ont réussi grâce à l’IA, cela signifie-t-il qu’on a enfin trouvé un moyen de démocratiser l’accès aux études de médecine ?
C’est effrayant. Si l’IA choisit nos médecins, qui va se soucier de nous écouter vraiment ?
Moi, ce qui m’inquiète, c’est pas tant l’IA que la pression monstre sur ces jeunes. On leur demande l’impossible, forcément certains craquent et cherchent des raccourcis.
Moi, je me demande si cette « crise » ne serait pas une chance. L’IA nous force peut-être à redéfinir ce qu’on attend vraiment d’un médecin.
Moi, je me demande si c’est pas un peu hypocrite de s’offusquer. On utilise tous l’IA, non ?
Moi, je trouve ça triste. On perd le côté humain de la vocation.
C’est pas tant l’IA qui me choque, mais la perspective de futurs médecins qui commencent leur carrière en trichant. Ça pose question sur leur éthique.
L’IA, c’est un peu comme un cheat code. Ça révèle surtout à quel point le jeu est mal conçu au départ.
Le serment d’Hippocrate boosté à l’IA… ça sonne bizarre. J’espère que l’empathie restera humaine.
C’est une course à l’échalote. On apprend à répondre à un examen, pas à soigner.
J’ai plus peur pour les profs que pour les patients. Ils vont devoir sacrément revoir leurs copies, maintenant.
Et si le problème n’était pas l’IA, mais la définition même du « bon » médecin qu’on évalue à l’entrée ?
On dirait que l’ascenseur social est en panne. Seuls ceux qui peuvent se payer l’IA réussissent, non ?
Si on sélectionne des « robots » ultra-performants aux examens, qui va tenir la main des patients ?
C’est la fin de l’idéal du médecin dévoué, remplacé par un expert en algorithmes ?
Le numerus clausus est une aberration qui pousse à ces dérives.
On forme des cerveaux capables de recracher des infos, pas des soignants. Triste constat.
Peut-être que le concours est juste devenu obsolète face aux nouvelles technologies ?
Et si l’IA permettai…
Je me demande si cette affaire ne va pas simplement révéler les limites d’un système de sélection basé sur la mémorisation brute.
On oublie que l’IA est un outil. C’est l’usage qu’on en fait qui pose question, pas l’outil lui-même.
Ça me rappelle les tricheries au bac, version 2.0. Mais là, l’enjeu est quand même plus sérieux qu’une mention.
Peut-être qu’on devrait plus évaluer la capacité à apprendre et à s’adapter qu’à réciter.
Je suis plus inquiet pour la relation de confiance entre les patients et les futurs médecins. Comment croire quelqu’un qu’on soupçonne d’avoir triché dès le départ ?
C’est ironique : on utilise l’IA pour entrer en médecine, mais est-ce qu’on pense à l’IA *dans* la médecine ensuite ?
On dirait qu’on se focalise sur l’entrée, mais pas sur la sortie.
Moi, ce qui me frappe, c’est le gâchis humain. Des étudiants brillants potentiellement exclus à cause d’une course à l’échalote technologique. C’est tellement triste.
Moi, je me demande si on ne devrait pas tout simplement tirer les leçons de ce fiasco et repenser complètement l’accès aux études de médecine.
C’est fou de penser que l’IA change même les rêves d’enfance. On idéalise tellement ces métiers…
Si le concours est truqué, ça dévalue complètement le diplôme, non ?
Je me demande si les profs sont équipés pour détecter ça.
L’IA qui remplace l’humain, même dans l’empathie… ça fait froid dans le dos. J’espère que les futurs médecins auront toujours un cœur.
Moi, je me demande si ce n’est pas juste un symptôme d’une société qui valorise plus la performance immédiate que l’effort et la persévérance.
Ça me rappelle le dopage dans le sport, sauf que là, c’est intellectuel. On cherche la performance à tout prix, peu importe les moyens.
Je suis perplexe. On dirait qu’on a créé un monstre avec ce concours ultra-sélectif. Peut-être qu’on devrait simplement former plus de médecins ?
La médecine devient un concours de celui qui a la meilleure IA, pas le meilleur potentiel soignant. C’est ça le progrès ?
Peut-être qu’on devrait se demander si ce concours est vraiment le meilleur moyen de sélectionner de bons médecins.
L’IA qui s’immisce partout, même là où l’on s’attend le moins… On est prévenu, mais on ne l’anticipe jamais assez.
Si même l’accès à la médecine est devenu une question de moyens technologiques, où va-t-on ?
Peut-être que la vraie question, c’est : est-ce que ce concours teste vraiment les qualités essentielles d’un bon médecin ?
En fait, ça révèle surtout une pression énorme sur ces jeunes, non ?
C’est dingue comme on cherche à contourner les règles, même pour un métier aussi noble.
Je suis surtout inquiet pour la suite. Si l’IA peut passer le concours, comment garantir qu’elle ne sera pas utilisée pour « diagnostiquer » à la place des médecins?
C’est un peu triste de voir que même la vocation médicale peut être détournée par un simple « outil ».
On parle de triche, mais peut-être qu’il y a aussi un problème de fond dans la manière dont on évalue les futurs médecins.
Et si, au lieu de diaboliser l’IA, on l’intégrait comme outil pédagogique pour tous, et pas juste pour tricher ?
Ce n’est pas tant l’IA qui me choque, mais l’idée que la réussite à un concours soit plus importante que l’envie de soigner.
C’est dommage de réduire la complexité du métier de médecin à un simple examen.
Franchement, ça me fait penser qu’on va bientôt devoir prouver qu’on est humain pour exercer un métier.
C’est effrayant. Ce n’est plus une vocation, mais une course à l’armement technologique.
L’IA est un symptôme, pas la maladie. La vraie question, c’est pourquoi tant de pression ?
On risque d’avoir des médecins brillants aux examens, mais déconnectés de l’humain.
Je me demande si ce n’est pas aussi une question de confiance en soi. Si on a besoin de l’IA pour réussir, est-ce qu’on se sent vraiment capable d’exercer ?
Ça me rappelle les tricheries au bac avec les calculatrices programmables. L’outil change, l’enjeu reste.
Finalement, ça déshumanise complètement le serment d’Hippocrate, non? C’est glaçant.
Le métier attire encore, c’est déjà ça. Mais faudrait peut-être recentrer le concours sur l’empathie et la communication, non ?
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’image du métier. On dirait que la fin justifie les moyens, et ça, c’est pas rassurant pour les futurs patients.
La panique est compréhensible, mais peut-être que cette IA révèle surtout les failles du concours lui-même?
Moi, ce qui me frappe, c’est la déception des étudiants recalés. Ils doivent se sentir floués, comme si les règles avaient changé en cours de jeu.
Honnêtement, ça me fait surtout penser à une course d’obstacles. Le but, c’est d’arriver premier, peu importe comment. C’est triste, non ?
Ce concours, c’était déjà une épreuve terrible. Maintenant, c’est devenu un jeu perverti par la technologie. Triste évolution.
Et si l’IA servait de révélateur ? Peut-être qu’on sélectionne mal les futurs soignants, non ?
L’IA, c’est juste un symptôme. Le problème, c’est la pression monstrueuse qu’on met sur ces jeunes.
Peut-être qu’on devrait se demander pourquoi le concours est si anxiogène qu’il pousse à ça.
Le concours est peut-être un filtre inadapté à la réalité du terrain médical. On forme des cracks aux examens, pas forcément des bons médecins.
C’est fou comme l’IA change la donne, même pour des professions aussi encadrées. Ça remet en question la valeur du diplôme, non ?
C’est plus qu’un concours raté, c’est une génération entière qui risque d’être marquée par cette suspicion. Difficile de bâtir une confiance solide après ça.
Si l’IA a vraiment aidé, c’est peut-être qu’elle a comblé un manque dans la préparation, non ? Le concours est-il vraiment accessible à tous, peu importe leur origine sociale ?
Moi, je me demande si on mesure vraiment l’empathie et le dévouement avec un QCM. L’IA ne peut pas remplacer ça.
J’ai l’impression qu’on blâme l’IA alors que le vrai problème est peut-être la compétition exacerbée. On dirait qu’on oublie l’humain derrière les chiffres.
On se focalise sur l’IA, mais est-ce qu’on a vérifié l’intégrité du concours lui-même ? Une fuite d’épreuves serait tout aussi plausible.
Un concours si décrié, c’est qu’il y a un malaise profond. On s’acharne à trier, mais on oublie peut-être de former correctement.
L’IA révèle surtout la fragilité du système de sélection.
On dirait une course à l’armement technologique, même pour devenir médecin. Triste époque.
C’est quand même ironique que l’IA nous force à revoir des métiers qu’on pensait à l’abri. J’espère juste qu’on ne sacrifiera pas la déontologie sur l’autel de l’efficacité.
Ça me fait penser aux devoirs à la maison faits par ChatGPT. On va bientôt avoir des médecins formés par l’IA. Anxiogène.
J’avoue, ça me fait peur pour la suite. Si l’IA contourne les examens, comment garantir la compétence des futurs médecins ? On risque de le payer cher, collectivement.
En tant que parent, je me demande si ce concours est vraiment le meilleur moyen de sélectionner les futurs médecins. Peut-être qu’il faudrait privilégier d’autres qualités que la simple performance à un examen.
C’est un peu naïf de croire qu’on peut arrêter le progrès. L’IA est là, autant réfléchir à comment l’intégrer intelligemment dans la formation médicale, pas juste la diaboliser.
Je me demande si le problème n’est pas la pression insoutenable mise sur ces jeunes. Tricher devient presque une conséquence logique, non ?
L’IA comme révélateur d’un problème plus profond, je suis d’accord. Mais peut-être que ce concours est juste mal conçu, tout simplement ?
Ce n’est pas l’IA qui doit être sur le banc des accusés, mais notre obsession pour les chiffres et les classements. Les compétences humaines, elles, sont reléguées au second plan.
Moi, ce qui m’interpelle, c’est qu’on s’étonne. Un concours, c’est fait pour être piraté, non ? C’est sa nature même.
Moi, ce qui me frappe, c’est le gâchis. Des jeunes brillants, potentiellement d’excellents médecins, disqualifiés à cause de ça. Quel dommage.