Fatigué des embouteillages interminables et du temps perdu dans les transports ? L’année 2025 s’annonce comme le moment idéal pour (re)découvrir les joies du deux-roues. Le marché est en pleine effervescence avec une vague de nouveautés alléchantes, que vous soyez titulaire du permis A1, A2 ou A. Des roadsters surpuissants aux scooters électriques agiles, en passant par des trails prêts pour l’aventure, les constructeurs redoublent d’ingéniosité pour séduire. Voici une sélection de 10 machines qui pourraient bien vous faire changer de mode de transport.
Les roadsters et sportives font le plein de sensations
Pour ceux qui cherchent la performance et le style, 2025 est un grand cru. Les constructeurs proposent des machines au caractère bien trempé, alliant technologie et plaisir de pilotage. On note le retour de noms iconiques et l’arrivée de nouveaux concurrents ambitieux venus d’Asie, prêts à bousculer la hiérarchie.
La nouvelle Honda CB1000 Hornet fait un retour fracassant. Elle est animée par un rageur moteur quatre cylindres de 999 cm3, promettant pas moins de 152 chevaux pour des accélérations décoiffantes. Son look agressif et son tarif contenu en font une prétendante sérieuse sur le segment des gros roadsters. Chez les Italiens, l’Aprilia Tuono 457 se destine aux permis A2 sans faire de compromis sur le style. Basée sur la mini-sportive de la marque, elle offre 47,5 chevaux, le maximum autorisé pour cette catégorie, dans un châssis affûté.
- CFMoto 675 SR-R : une sportive chinoise dotée d’un trois cylindres de 89 ch, qui vient chasser sur les terres des marques européennes.
- Zontes 703 RR : une autre proposition asiatique avec un trois cylindres, déclinée en version 95 ch pour être compatible avec le permis A2.
L’aventure et le style pour le quotidien
Le besoin d’évasion et de polyvalence inspire également les constructeurs. Les trails de moyenne cylindrée et les motos néo-rétros ont la cote, offrant un parfait compromis entre les trajets quotidiens et les escapades du week-end. Ces modèles misent sur la facilité de prise en main et un look affirmé.
Le constructeur bavarois s’attaque au segment des trails de moyenne cylindrée avec la BMW F450 GS, un modèle qui s’intercale parfaitement dans sa gamme. Inspirée de sa grande sœur, elle promet une forte orientation tout-terrain. Autre nouveauté, la Honda GB 350 S, une moto au charme classique et à la simplicité assumée. Son principal atout est son incroyable sobriété, avec une autonomie annoncée de 570 km avec un seul plein.
La renaissance d’une icône du fun
La N°7 de notre sélection est une véritable surprise qui ravira les nostalgiques : la Suzuki DR-Z4 SM. Vingt-cinq ans après la sortie du modèle original, ce supermotard mythique renaît de ses cendres. Entièrement modernisé avec un nouveau moteur à injection, un nouveau cadre et une garantie de cinq ans, il promet de conserver tout ce qui a fait son succès : une agilité diabolique et un plaisir de conduite à l’état pur. Une version enduro est également au programme pour les amateurs de chemins.
Modèle | Type de pilote visé | Atout principal |
---|---|---|
BMW F450 GS | Jeunes permis et aventuriers | Polyvalence et image de marque |
Honda GB 350 S | Amateurs de style classique | Autonomie record et simplicité |
Suzuki DR-Z4 SM | Pilotes en quête de sensations | Agilité et plaisir de pilotage |
La révolution électrique et les concepts du futur
La mobilité urbaine se transforme, et les deux-roues électriques sont au cœur de cette évolution. Pour 2025, les nouveautés sont nombreuses et couvrent tous les besoins, du petit scooter pratique à la moto performante et stylée. Le silence, l’absence de vibrations et le couple instantané sont des arguments de poids.
Honda investit le créneau avec le CUV e, un scooter équivalent 125 cm3 parfait pour la ville, doté de deux batteries amovibles. Pour un produit plus premium, la marque française DAB 1α fait sensation. Produite en France, cette moto équivalent 125cc offre des performances de pointe, une vitesse maximale de 130 km/h et des matériaux nobles comme le carbone recyclé. De son côté, Suzuki explore une voie alternative avec son concept Burgman Hydrogen, un maxi-scooter dont le moteur thermique est alimenté par de l’hydrogène, ne rejetant que de l’eau.
- Can-Am Pulse et Origin : le retour de la marque canadienne avec deux modèles basés sur un châssis-batterie innovant.
- Kymco CV-R5 : un scooter aux allures de trail, conçu pour rivaliser avec les références du marché.
- Lambretta Elettra : l’alliance du design italien intemporel et d’une motorisation électrique performante capable d’atteindre 110 km/h.
Le salon de Milan a également été l’occasion de découvrir des projets audacieux comme la gamme tout-terrain de Zero Motorcycle ou la future moto urbaine de Royal Enfield, surnommée la « puce volante ». Ces modèles montrent que l’avenir du deux-roues sera diversifié et passionnant.
Mouais, le « va vous tenter » sonne un peu trop racoleur à mon goût. J’espère que la nouveauté N°7 justifie vraiment tout ce battage.
2025 ? J’espère surtout que les prix suivront la tendance des embouteillages : à la baisse ! Parce que l’envie, elle est là, mais le budget… c’est une autre histoire.
L’article me parle, surtout la promesse d’agilité en ville. J’ai tellement marre de chercher une place pendant 20 minutes. Le deux-roues, c’est la liberté retrouvée !
Le deux-roues, oui, mais la sécurité ? J’aimerais voir plus d’articles sur les équipements et les formations. C’est bien beau d’avoir une machine neuve, encore faut-il savoir la maîtriser.
Je suis curieux de savoir quelles sont ces fameuses nouveautés, mais le titre fait un peu trop « pub ». J’attends de voir si l’article apporte des arguments concrets ou si c’est juste du marketing.
Le titre est effectivement un peu vendeur, mais l’idée de se faufiler entre les voitures me fait rêver. J’ai arrêté la moto il y a 10 ans, peut-être le bon moment pour m’y remettre !
Moi, j’attends surtout de voir l’évolution des batteries pour les électriques. L’autonomie actuelle est encore trop limitante pour envisager un usage quotidien.
Moi, ce qui me fait peur, c’est le comportement des autres usagers de la route. On a beau être prudent, on n’est jamais à l’abri d’un chauffard…
Moi, j’ai toujours préféré le bus. Moins de stress, je peux lire tranquille. C’est sûr, c’est moins fun, mais plus reposant.
Je suis plus sensible au bruit, maintenant. Les pots d’échappement trafiqués, ça me gonfle. J’espère que ces nouveautés sont silencieuses.
Le deux-roues en 2025 ? Pourquoi pas ! Mais j’espère que les assurances deviendront plus abordables. C’est souvent le vrai frein.
Moi, le deux-roues, c’est un peu comme une madeleine de Proust. Ça me rappelle ma jeunesse et les virées avec les potes. Mais maintenant, je privilégie le confort de ma voiture avec la clim !
J’ai toujours eu une image un peu négative des deux-roues, trop risqué pour moi. Peut-être que ces modèles 2025 changeront mon regard.
L’idée de ne plus être coincé dans la circulation est séduisante, c’est vrai. Mais avec les prix du carburant qui flambent, est-ce que le deux-roues est encore vraiment une solution économique ?
Le deux-roues, c’est un style de vie. Je n’ai jamais compris ceux qui le voient juste comme un moyen d’éviter les bouchons.
Les nouveautés, c’est bien, mais est-ce qu’elles résolvent le problème du manque de places de parking en ville ? C’est ça, la vraie galère !
Dix nouveautés, c’est tentant, mais j’espère qu’elles seront adaptées à la conduite par tous les temps. La pluie, c’est l’ennemi du deux-roues, et ça arrive souvent !
Dix nouveautés, c’est bien beau, mais quid de la formation ? On ne s’improvise pas motard du jour au lendemain. Apprendre les bases, c’est essentiel.
10 nouveautés, c’est du marketing. J’aimerais surtout voir une vraie amélioration de la sécurité routière pour les deux-roues, plutôt que juste des gadgets dernier cri.
Le titre est accrocheur, mais j’attends de voir ce que la N°7 a de si spécial.
Moi, ce qui me freine, c’est le bruit. J’espère qu’ils ont pensé à l’aspect sonore des nouveaux modèles. Un deux-roues silencieux, ça changerait tout.
Le deux-roues, c’est la liberté, mais le dos en prend un coup. J’espère qu’ils ont pensé au confort.
Franchement, ce qui me manque le plus quand je prends la voiture, c’est le sentiment de liberté. J’espère que ces nouveautés sauront retranscrire ça, plus que juste une solution anti-bouchon.
Revenir au deux-roues ? L’envie est là, mais la peur aussi. J’ai un souvenir cuisant d’une chute, et ça me refroidit plus que les embouteillages. Peut-être que ces nouveautés rassureront.
2025 et des nouveautés ? Ça me donne envie, mais le prix, lui, me refroidit souvent. L’assurance, l’équipement… ça chiffre vite !
Moi, le deux-roues, c’est pratique, mais tellement vulnérable. J’espère que les constructeurs innovent aussi en matière de visibilité, pour qu’on soit mieux vus des voitures.
L’article est sympa, ça donne envie, c’est sûr. Mais j’aimerais bien voir une plus grande autonomie pour les électriques, qu’on puisse vraiment envisager les trajets quotidiens sans stress.
Moi, les nouveautés, ça me fait toujours un peu peur. On oublie souvent la fiabilité sur le long terme. J’attends les retours d’expérience avant de m’emballer.
Les deux-roues, c’est un truc de jeune, non ? J’ai passé l’âge de jouer les cascadeurs entre les voitures.
J’attends surtout une meilleure intégration avec les applis de navigation. Un GPS lisible et intuitif, c’est primordial pour la sécurité en ville.
L’odeur de l’essence, le vent sur le visage… c’est ça qui me manque vraiment. Les stats, les specs, je m’en fiche un peu.
Le plaisir avant tout, quoi.
Des « nouveautés alléchantes », c’est bien joli, mais quid des infrastructures ? Des pistes cyclables sécurisées partagées avec les scooters, ça serait déjà un bon début.
Moi, ce qui me bloque, c’est le manque de garages sécurisés. Impossible de laisser un beau deux-roues dans la rue sans stress.
Le plus important pour moi, c’est l’esthétique. Qu’elle ait de la gueule, la bécane ! Le reste, c’est secondaire.
Moi, j’aimerais surtout qu’on arrête de nous prendre pour des dangers publics sur pattes. Le problème, c’est souvent le regard des autres usagers de la route.
Moi, ce qui me freine, c’est le prix de l’assurance. Ça peut vite grimper et anéantir l’intérêt économique du deux-roues.
C’est marrant, cette envie de nouveauté alors que parfois, un bon vieux modèle increvable fait largement le job. Question de priorités, je suppose.
L’article sonne bien, mais 2025, c’est loin. J’espère que les prix suivront, car l’inflation actuelle est un vrai frein.
Mouais, 2025… On nous promet toujours la lune. J’aimerais surtout voir des améliorations concrètes sur la sécurité routière pour les deux-roues, pas juste des gadgets.
Moi, ce qui me gêne, c’est l’aspect saisonnier. Profiter vraiment de son deux-roues, c’est compliqué quand la météo fait des siennes.
Les « nouveautés », c’est tentant, c’est sûr. Mais honnêtement, j’ai du mal à me projeter avec un deux-roues quand je vois le prix des équipements obligatoires.
Le titre est accrocheur, c’est vrai. Mais pour moi, le plaisir du deux-roues, c’est surtout la liberté. Pas sûr que les « nouveautés » apportent ça plus qu’une machine plus simple.
« Revenir » aux deux-roues ? J’en suis jamais parti, moi ! C’est pas une question de nouveauté, mais de passion. Le reste, c’est du marketing.
L’article est sympa, mais je rêve d’une moto qui se gare toute seule dans mon garage minuscule. C’est ça, la vraie innovation que j’attends !
Franchement, l’idée de « revenir » est sympa. Mais pour moi, ce serait plutôt « enfin oser ». J’ai toujours rêvé d’un scooter pour la ville.
Dix nouveautés, c’est bien, mais est-ce qu’elles sont adaptées aux femmes ? J’aimerais voir plus d’options pensées pour nous, pas juste des déclinaisons de modèles masculins.
L’électrique, oui, mais j’espère qu’on aura des bornes de recharge partout en ville, sinon c’est pas la peine.
J’ai vendu ma moto il y a quelques années après une mauvaise chute. L’idée de remonter me plaît, mais la peur reste tenace. Peut-être qu’un scooter plus stable serait une option.
Les embouteillages, c’est l’enfer. Mais je me demande si ces nouveautés résoudront vraiment le problème, ou si elles ne feront que l’embellir avec des gadgets.
2025 et ces « nouveautés »… on verra. J’espère juste qu’elles seront aussi fiables que ma vieille bécane des années 90.
Moi, ce qui me freine, c’est la sécurité. Les voitures sont de plus en plus grosses, les distractions au volant omniprésentes. J’ai peur de me faire faucher.
J’ai arrêté le deux-roues quand ma famille s’est agrandie. C’est vrai que ça me manque parfois, surtout quand je suis coincé dans les bouchons. Mais le confort de la voiture, avec la clim et la musique.
Le deux-roues, c’est la liberté, c’est sûr. Mais avec l’âge, je préfère le confort d’une bonne voiture, même dans les bouchons. Moins de stress et plus de sécurité.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est le prix ! Des nouveautés, oui, mais à quel coût ? Si c’est pour devoir faire un crédit sur 5 ans, autant rester à pied.
Les deux-roues restent une passion, mais l’entretien et l’équipement coûtent cher. Un budget à ne pas négliger avant de craquer !
J’attends surtout de voir des améliorations concrètes sur l’autonomie des scooters électriques. Les promesses sont belles, mais la réalité du quotidien…
La N°7 va me tenter ? Mouais, on verra bien les détails techniques. J’attends surtout de voir si l’esthétique suit.
Je suis curieux de voir si ces nouveautés seront adaptées aux trajets quotidiens, avec de la place pour un sac à dos et des courses.
Franchement, le titre est un peu racoleur. J’attends plus qu’une simple liste de modèles. J’aimerais surtout un essai comparatif en conditions réelles.
Le titre me fait penser à ces pubs pour des régimes miracles. On promet monts et merveilles, mais la réalité est souvent décevante. J’espère que l’article ne survendra pas le sujet.
La « N°7 va vous tenter », ça sent le marketing à plein nez. Perso, j’ai surtout envie de savoir si ces engins sont vraiment pratiques pour se garer en ville.
Le titre est accrocheur, c’est sûr. Mais au-delà des nouveautés, j’aimerais un focus sur la sécurité, surtout pour les jeunes qui se lancent. Un rappel des règles essentielles serait top.
Retourner aux deux-roues, c’est vrai que ça sonne bien. Mais perso, j’ai trop peur de me faire renverser maintenant. La circulation est devenue tellement agressive.
Moi, ce qui me manque, c’est le plaisir de conduire, le vent sur le visage. Les nouveautés, c’est bien, mais est-ce qu’elles retrouvent cette sensation ? C’est ça la vraie question.
Moi, ce qui me freine, c’est l’odeur d’essence sur les vêtements après chaque trajet. C’est un détail, mais rédhibitoire.
Le deux-roues, c’est une liberté qu’on oublie vite avec les enfants et les obligations. Peut-être qu’en 2025… mais il faudrait que ma femme soit d’accord !
L’électrique me tente bien, mais j’ai peur de l’autonomie et du temps de recharge. Est-ce vraiment compatible avec un usage quotidien ?
L’article me laisse un peu froid. J’ai l’impression qu’on me vend du rêve alors que je cherche surtout de la fiabilité et de la simplicité.
Moi, les deux-roues, c’est surtout synonyme de galère sous la pluie ! L’idée est sympa, mais entre le boulot et les courses, je ne vois pas comment je pourrais troquer ma voiture.
Le deux-roues, c’est plus qu’un simple moyen de transport. C’est un souvenir de jeunesse, une certaine insouciance. L’article réveille cette nostalgie.
2025, peut-être. Mais j’attends surtout de voir des incitations financières concrètes pour passer à l’électrique. Le prix reste un frein majeur.
Le côté pratique, c’est bien beau, mais la passion, elle est où ? J’aimerais lire un article qui parle du plaisir de la mécanique, du bruit du moteur.
Dix nouveautés, c’est bien joli, mais quid de l’entretien ? Trouver un bon mécano qui connait vraiment son affaire, c’est ça le vrai défi aujourd’hui.
J’aimerais bien voir des comparatifs de coûts à l’usage, assurance comprise. Ça change vraiment la donne, au-delà du prix d’achat.
Ces « nouveautés qui donnent envie », c’est du marketing. Ce qui donnerait envie, c’est une vraie culture du respect du motard sur la route.
L’article est sympa, mais parle-t-on vraiment de mobilité ou de nouveaux jouets pour adultes ? Le besoin, c’est un véhicule fiable et abordable pour aller bosser, pas une énième bécane à la mode.
Moi, ce qui me freine, c’est la peur. Peur de la chute, peur de l’accident. J’ai un ami qui s’est gravement blessé. Ça refroidit.
« 2025 et les nouveautés, c’est cool sur le papier. Mais en ville, je me vois mal jongler avec mon sac de sport et mon casque, sans parler du costard froissé.
Le deux-roues, c’est tentant, c’est vrai. Mais le confort d’une voiture en hiver, avec le chauffage et la musique, c’est difficile à égaler.
Moi, c’est le côté communautaire qui me manque. Les balades entre potes, les virées improvisées… L’article devrait insister là-dessus.
Franchement, au-delà des modèles, j’aimerais savoir si les infrastructures vont suivre. Des pistes cyclables plus larges, des parkings sécurisés… C’est ça qui me ferait vraiment sauter le pas.
Je suis un peu blasé de ces promesses de « nouveaux départs ». Chaque année c’est pareil.
Les embouteillages, je connais. Mais bizarrement, je trouve un certain calme à me faufiler. C’est presque méditatif.
Le bruit du moteur, le vent sur le visage… Ça me rappelle ma jeunesse. Peut-être que 2025 sera l’année du retour aux sources. On verra bien !
Le titre est accrocheur, c’est sûr. Mais au final, j’attends surtout de voir si ces nouveautés seront vraiment adaptées à mon quotidien et à mon budget. Pas seulement belles à regarder.
J’avoue, le côté pratique du scooter électrique en ville, ça me parle de plus en plus. Fini la galère pour se garer.
Le titre est vendeur, mais je me demande si on ne nous prend pas un peu pour des pigeons. On nous promet le renouveau à chaque fois.
Moi, ce qui me bloque, c’est l’équipement. C’est un vrai budget à prévoir en plus de l’engin.
Moi, ce qui me freine, c’est la sécurité. J’ai vu trop d’accidents. C’est pas pour moi, malgré les arguments.
L’odeur de l’essence et les mains noires, ça non, ça ne me manque pas ! Je préfère le confort de ma voiture, même dans les bouchons.
Mouais, « donne envie de revenir », c’est vite dit. Faut voir le prix de l’assurance en 2025 avant de s’emballer. C’est ça le vrai frein, pas l’engin lui-même.
Moi, j’ai surtout peur de me faire voler mon casque. C’est bête, mais c’est ça qui me retient.
L’article est sympa, mais il oublie le principal : la peur de la panne. En plein milieu de nulle part, sous la pluie… ça calme l’enthousiasme.
Dix nouveautés, c’est bien, mais quid des infrastructures ? Les pistes cyclables partagées avec les trottinettes, c’est déjà le bazar. On va faire comment ?
Moi, ce qui me manque surtout, c’est le sentiment de liberté que procure la moto. La voiture, c’est une cage, même climatisée.
Le numéro 7, c’est forcément un modèle hyper cher que je ne pourrai jamais me payer. Autant ne pas fantasmer.
C’est marrant, on dirait que tout le monde a oublié le plaisir de bricoler sa bécane le dimanche ! C’est aussi ça, le deux-roues.
2025 et toutes ces nouveautés… J’espère surtout qu’elles seront plus respectueuses de l’environnement. Le bruit et la pollution, c’est quand même un gros point noir des deux-roues.
Le deux-roues, c’est super, mais j’ai toujours l’impression d’être invisible pour les automobilistes. C’est ça qui me bloque le plus.
Le deux-roues, c’est tentant, mais j’ai trop peur pour mes enfants. Je préfère les savoir en sécurité dans une voiture.
Les embouteillages me rendent fou, mais j’ai du mal à faire confiance aux autres usagers de la route quand je suis sur deux roues. C’est un vrai blocage psychologique.
Je suis curieux de voir ce que les constructeurs proposent en termes d’assurance et de services d’assistance. C’est un aspect souvent négligé, mais crucial.
Moi, ce qui me freine, c’est l’équipement. Entre le casque, le blouson, les gants… ça chiffre vite et ça prend de la place dans l’entrée.
Le deux-roues, c’est une super idée…tant qu’il fait beau. La pluie, le froid, c’est rédhibitoire pour moi. Et en 2025, la météo ne va pas s’améliorer !
L’article est séduisant, mais j’attends de voir les prix. L’innovation, c’est bien, l’accessibilité, c’est mieux.
Mouais, « donne envie »… J’ai l’impression de lire une pub déguisée. On verra les preuves concrètes sur la route.
Moi, je me demande si ces nouveautés vont vraiment changer la donne pour le stationnement en ville. C’est déjà la galère pour trouver une place pour ma voiture…
Je me demande si ces nouvelles motos et scooters proposeront des espaces de rangement dignes de ce nom. C’est souvent le gros point faible, et ça rend les trajets quotidiens bien moins pratiques.
J’ai repris le scooter il y a quelques années et je ne regrette pas. Le gain de temps est indéniable et le plaisir de rouler est là. Foncez !
L’idée de la liberté retrouvée me parle, mais j’ai un peu peur de me sentir vulnérable au milieu de la circulation.
2025, c’est loin. J’ai surtout envie d’une solution *maintenant* à mes trajets pénibles. Cet article me frustre un peu, finalement.
J’ai toujours rêvé d’une petite Vespa pour me balader le week-end, loin du stress du travail. Pas besoin de puissance, juste du fun.
Le N°7 va me tenter ? Bof, j’ai plus envie de connaître mon budget assurance avant de me projeter. C’est ça, la vraie question.
J’espère surtout qu’ils ont pensé à améliorer la sécurité active. Plus de gadgets, c’est bien, mais éviter l’accident, c’est mieux.
Dix nouveautés, c’est chouette, mais j’espère qu’elles ne ressemblent pas toutes à des transformers. Un peu de sobriété et d’élégance, ça ne ferait pas de mal.
Le plus important pour moi, c’est le confort. J’ai mal au dos, alors si ces nouveautés ne sont pas confortables, ce n’est même pas la peine. J’espère qu’ils ont pensé aux vieux comme moi.
Moi, ce qui me freine, c’est la météo. J’adore l’idée, mais en Bretagne, c’est quand même souvent pluie et vent. Un toit me manquerait trop.
Ces articles « annonce de nouveautés » me laissent toujours un peu sur ma faim. On nous promet monts et merveilles, mais à la fin, c’est souvent le prix qui douche l’enthousiasme.
Moi, ce qui me plaît, c’est l’odeur. L’odeur de l’essence et du cuir. Ça me rappelle mon père et les virées du dimanche. J’espère qu’ils n’ont pas oublié ça dans leurs nouveautés électriques.
Franchement, le « N°7 va vous tenter » c’est du pur marketing. J’aimerais juste des essais longue durée honnêtes avant de me décider.
Moi, ce qui me fait rêver, c’est l’évasion. Pas forcément la puissance, mais la liberté de prendre une petite route de campagne un dimanche matin. Un truc simple, sans chichis.
Moi, les deux-roues, c’est surtout un gain de temps en ville. Si ces nouveautés sont manœuvrables et faciles à garer, ça peut m’intéresser.
C’est marrant, moi le deux-roues me rappelle surtout le stress des vols et des dégradations. J’espère qu’ils ont pensé à ça aussi.
Le 2 roues, c’est vrai que ça donne un sentiment de liberté qu’on ne retrouve pas en voiture. Mais j’avoue que le bruit, ça me dérange de plus en plus.
L’attrait du deux-roues ? Peut-être. Mais je crains surtout pour ma sécurité face aux SUV et aux distractions au volant. La route est devenue une jungle.
L’aspect pratique est indéniable, mais j’ai toujours du mal avec l’équipement obligatoire. Casque, blouson… C’est un budget à ne pas négliger !
L’article est sympa, mais j’ai du mal à imaginer laisser ma voiture pour ça. Le confort et la sécurité, surtout pour les longs trajets, c’est quand même un argument de poids.
Moi, j’attends surtout de voir l’impact des ZFE sur l’usage des deux-roues. Est-ce que ces nouveautés seront vraiment adaptées aux contraintes urbaines de demain ? C’est ça la vraie question.
Le deux-roues, c’est un truc de jeunesse pour moi. Maintenant, j’ai besoin d’un confort que je ne trouve plus là-dessus. Dos fragile oblige !
L’idée de revenir au deux-roues me séduit, mais l’odeur d’essence persistante, non merci. J’espère qu’ils misent vraiment sur l’électrique.
Mouais, « envie de revenir », c’est vite dit. J’attends surtout de voir les prix, moi. Si c’est pour se ruiner, autant rester dans le métro.
Le côté fun, ça me parle. Mais quand je vois les prix de l’assurance, ça calme vite mes ardeurs.
Dix nouveautés, c’est bien, mais est-ce que ça prend en compte le plaisir de bricoler sa bécane le dimanche ? J’ai peur que tout devienne trop aseptisé.
Ces nouveautés me rappellent mes 20 ans. L’insouciance, la vitesse… Une époque révolue, mais le souvenir est bon.
Le deux-roues, ça me tente, mais le partage de la route avec les livreurs toujours pressés, ça me freine.
Bof, les nouveautés c’est bien beau, mais j’aimerais surtout qu’ils améliorent la sécurité routière pour les deux-roues. C’est ça qui me ferait vraiment passer le cap.
Moi, ce qui me bloque, c’est l’équipement. Casque, blouson, gants… ça chiffre vite et c’est pas toujours pratique à caser au bureau.
Franchement, le côté pratique d’un scooter pour les courses rapides me manque. Pas besoin de chercher un parking immense.
Honnêtement, le plus dur, c’est de se motiver à remettre un casque après une journée de boulot. Le confort de la voiture, c’est quand même autre chose, surtout en hiver.
Moi, ce qui me retient, c’est l’entretien. Trouver un bon mécano de confiance, c’est devenu une mission impossible. Sans ça, la nouveauté, c’est du vent.
L’électrique me fait de l’œil, mais l’autonomie reste mon principal frein. J’ai besoin de plus de garanties sur ce point avant de franchir le pas.
L’article est un peu racoleur, non ? On nous promet le bonheur sur deux roues, mais la réalité, c’est quand même bien plus complexe que ça.
2025 ? Ça me paraît loin pour espérer échapper aux bouchons. J’ai l’impression qu’on nous vend toujours le futur comme la solution, mais le présent reste galère.
« Revenir » aux deux-roues ? J’ai jamais vraiment arrêté, moi. Juste adapté ma pratique avec l’âge. Moins de virées, plus de trajets utilitaires.
L’appel de l’aventure, oui, mais le prix des assurances, lui, me refroidit direct. On dirait qu’ils parient sur notre chute !
La promesse d’évasion est belle, mais j’ai surtout peur pour mes genoux avec l’âge. Un scooter serait peut-être plus adapté finalement…
L’article sent bon la nostalgie, c’est vrai. Mais pour moi, le deux-roues, c’est surtout un certain art de vivre, un rapport direct à la route et aux éléments.
Le titre est accrocheur, mais j’attends de voir la fameuse nouveauté N°7. J’espère que ce n’est pas juste une couleur flashy.
Moi, c’est plus le côté pratique qui me parle. Est-ce que ces nouveautés sont vraiment pensées pour le quotidien, les courses, le boulot ? L’aventure, c’est bien, mais le pain quotidien, c’est mieux.
La nostalgie, oui, mais j’aimerais surtout voir des efforts sur la sécurité. Plus d’équipements abordables et efficaces, ça serait plus pertinent que des gadgets.
Moi, ce qui me freine, c’est le regard des autres. On se sent vite jugé sur un deux-roues, comme un marginal ou un inconscient. Dommage.
Le bruit. C’est ça qui me manque le moins sur un deux-roues. Surtout après une longue journée.
Le deux-roues, c’est super… tant qu’il ne pleut pas. Et sous la pluie, c’est l’enfer.
2025 et toutes ces nouveautés… Peut-être que c’est le bon moment pour arrêter de fantasmer et enfin passer le permis moto !
Moi, ce qui me retient, c’est la peur. Pas de la machine, mais des autres usagers. On est tellement vulnérable.
L’article est sympa, mais ça parle surtout du plaisir. Moi, je me demande surtout si ces nouveaux modèles seront plus fiables que les anciens. J’ai eu trop de galères par le passé.
Dix nouveautés pour 2025 ? Ça me rappelle les promesses de chaque année. On verra bien si elles tiennent la route, littéralement. Je reste sceptique.
« 10 nouveautés qui donnent envie »… Mouais. Moi, c’est surtout le prix qui me refroidit à chaque fois. L’envie est là, le budget beaucoup moins.
Le deux-roues, c’est la liberté, c’est sûr. Mais l’odeur des pots d’échappement en plein été, coincé entre deux bus… ça me calme vite. L’électrique règlera peut-être ça.
Le N°7 qui va me tenter ? J’espère qu’il y a des options pour les dos fragiles. Le confort, c’est devenu ma priorité numéro un.
J’espère que ces « nouveautés » penseront à intégrer plus de rangements. C’est toujours un casse-tête au quotidien.
Revenir au deux-roues ? Plus qu’aux nouveautés, c’est le prix du carburant qui me pousse à y réfléchir. L’essence devient un luxe.
Le titre est accrocheur, mais j’aimerais surtout savoir si ces nouveautés sont pensées pour les femmes. L’ergonomie est souvent un problème pour nous.
L’article me parle, mais j’aimerais surtout savoir si l’assurance de ces nouveaux modèles restera abordable. C’est ça qui freine beaucoup de monde, non ?
Franchement, l’idée du deux-roues me séduit de plus en plus. Le problème, c’est le regard des autres. J’ai peur du côté « biker » qu’on associe souvent à ça.
Moi, ce qui me manque, c’est le côté pratique. Est-ce que ces nouveautés sont vraiment adaptées aux courses du quotidien, au trajet pour déposer les enfants à l’école ? Pas juste pour le plaisir du week-end.
Je suis curieux de voir si ces modèles se débrouilleront dans les petites rues pavées de ma ville. La maniabilité, c’est souvent oublié, mais c’est crucial.
En 2025 ? J’attends surtout des vraies avancées sur la sécurité active, pas juste des gadgets. C’est ça qui me fera changer d’avis, pas un nouveau coloris.
Moi, ce qui me freine, c’est l’équipement obligatoire. Entre le casque, le blouson, les gants… ça chiffre vite et c’est pas toujours hyper glamour.
Le deux-roues, oui, mais uniquement si je peux me garer facilement et gratuitement. Sinon, autant rester coincé dans ma voiture.
Moi, j’avoue que l’idée de retrouver du temps libre en évitant les bouchons, ça me parle énormément. Le reste, je m’y adapterai.
Moi, ce qui me dissuade, c’est le manque d’infrastructures adaptées. Pistes cyclables partagées, stationnement inexistant… On se sent vite en danger.
Le bruit ! C’est ça qui me rebute. Marre d’entendre les pots d’échappement trafiqués. Une transition vers le tout électrique serait un vrai plus.
L’autonomie des modèles électriques sera-t-elle vraiment suffisante pour mes trajets quotidiens ? C’est ça la vraie question !
Le côté « pratique » est une chose, mais la sensation de liberté, ça n’a pas de prix. Je me demande si les constructeurs misent assez là-dessus.
Dix nouveautés, c’est bien, mais quid des prix ? Si c’est pour afficher des tarifs délirants, ça ne me donnera pas plus envie qu’avant…
Ce qui me manque, c’est la simplicité. J’ai l’impression que les constructeurs cherchent trop à en faire, à complexifier les choses. Un bon moteur, deux roues, et c’est parti !
« Envie de revenir » ? Mouais. J’ai l’impression que les constructeurs oublient qu’on a une vie à côté de la moto. Gérer le quotidien, c’est déjà bien assez compliqué.
L’article est peut-être un peu optimiste. Perso, c’est pas les nouveautés qui me manquent, c’est le courage de me remettre en selle après ma gamelle.
Moi, c’est l’aspect social qui me manque. Les balades entre potes, les discussions autour d’un café… C’est ça le vrai plaisir de la moto, pas juste éviter les bouchons.
Les nouveautés, c’est cool, mais la météo… C’est elle qui décide de mes sorties à moto, pas les beaux modèles en vitrine. Et en 2025, j’imagine qu’il pleuvra toujours autant !
Moi, ce qui me manque, c’est le look des anciennes. Ces nouvelles motos sont toutes pareilles, agressives. Un peu de classicisme, ça ne ferait pas de mal !
Ce qui me manque, c’est le frisson de l’inattendu, le petit grain de sable qui transforme une balade en aventure. Les nouveautés, c’est du marketing, pas de l’âme.
Moi, c’est surtout le parking facile qui me manque, franchement. Trouver une place en bagnole, c’est l’enfer.
Le bruit du vent, l’odeur de l’essence… ça, ça me manque. Plus que les gadgets électroniques.
L’excitation ? Bof. Ce qui me freine, c’est plutôt la peur de me faire cartonner par un automobiliste distrait. L’enfer, c’est les autres, pas les bouchons.
Les « nouveautés », c’est séduisant, oui. Mais est-ce que ça résout le problème du prix de l’assurance, qui a explosé ces dernières années ? C’est ça qui me dissuade, plus que les modèles eux-mêmes.
C’est marrant cette nostalgie ambiante. Moi, la moto, c’est pas un souvenir, c’est mon moyen de transport principal.
Franchement, le confort des nouveaux scooters me fait de l’oeil pour les trajets boulot-dodo.
L’appel du deux-roues ? Surtout l’appel du portefeuille allégé avec toutes ces options et accessoires indispensables.
Le plaisir du deux-roues, c’est le sentiment de liberté, pas un catalogue de nouvelles options. L’article est un peu trop commercial à mon goût.
2025 ? J’attends surtout de voir si les infrastructures vont suivre. Plus de deux-roues, c’est bien, mais plus de pistes cyclables sécurisées, c’est mieux !
Le deux-roues, c’est bien, mais j’ai trop de bricoles à transporter pour le travail. Dommage, l’idée me plaît.
Le côté pratique, oui, mais le look ? J’espère que les designers vont se creuser un peu plus. On dirait trop souvent des clones.
Moi, ce qui me bloque, c’est l’équipement obligatoire. Casque, gants, blouson… ça chiffre vite au final. Et bonjour la galère pour stocker tout ça au bureau.
L’article fait rêver, c’est sûr. Mais pour moi, le vrai frein, c’est l’entretien. Pas envie de passer mes week-ends à bricoler.
Le bruit. Personne n’en parle, mais ça me rend dingue. Entre les pots trafiqués et les moteurs qui gueulent, c’est une pollution sonore infernale.
Moi, c’est l’inverse. J’ai justement peur de perdre le « vrai » feeling de la moto avec trop de nouveautés technologiques. J’aime sentir la route, pas un ordinateur qui la filtre.
Le titre accrocheur, c’est sûr. Mais moi, ce qui me freine, c’est la sécurité. J’ai vu trop d’accidents. Je préfère rester dans ma cage, même si elle est sur quatre roues.
Moi, ce qui me fait hésiter, c’est le côté saisonnier. Super en été, mais sous la pluie et le froid, ça devient tout de suite moins fun.
Moi, j’avoue, ce qui me fait peur, c’est de me retrouver à devoir choisir ! Trop de modèles, trop de possibilités… On s’y perd !
Mouais, « l’envie de revenir », c’est vite dit. J’ai jamais vraiment quitté, mais l’article oublie un truc essentiel : la communauté. Le plaisir, c’est aussi les balades entre potes, les virées impromptues.
Franchement, « revenir » ? J’ai l’impression qu’on nous prend pour des girouettes. On dirait un argument marketing pour vendre du rêve.
2025 et les nouveautés, c’est bien joli, mais est-ce que les infrastructures vont suivre ? Les pistes cyclables, c’est bien, mais pour les 2 roues motorisés, on fait comment ?
Sympa cette perspective 2025. Perso, j’attends surtout de voir si l’autonomie des électriques va vraiment progresser. Ça, ça changerait la donne pour moi.
C’est marrant, on dirait que le deux-roues est une solution à tout ! Pour moi, c’est juste un plaisir, une bouffée d’air. Pas besoin d’un prétexte pour remonter dessus.
L’article est sympa, mais pour moi, le vrai luxe, c’est le temps qu’on gagne. Pas seulement dans les bouchons, mais pour soi. Une pause déjeuner sur une petite route, ça n’a pas de prix.
L’article me fait penser à une pub. On idéalise vachement, mais le quotidien, c’est aussi le casque qui gratte et la visière pleine de moucherons.
L’article est sympa, mais il manque le bruit! Le son d’un bon moteur, c’est ça la vraie raison. On oublie trop souvent le plaisir auditif.
Moi, c’est la nostalgie qui me parle. Retrouver les sensations de liberté de ma première mobylette… ça, ça me tenterait bien.
L’article est un peu trop enthousiaste. Pour moi, le deux-roues, c’est aussi un investissement conséquent en équipement de protection, et c’est un budget à ne pas négliger.
« Revenir » aux deux roues ? Pour moi, c’est surtout y rester. La météo capricieuse, c’est le vrai défi. L’article oublie que la passion demande de l’adaptation, pas seulement des nouveautés.
« Dix nouveautés », ça fait beaucoup… J’espère que les assurances vont pas exploser avec tout ça. Le prix est souvent le premier frein.
Moi, ce qui me freine, c’est le regard des autres. On se sent vite jugé, « casseur » ou inconscient. C’est dommage, ça gâche un peu le plaisir.
Moi, ce qui me dérange, c’est le côté « gadget ». On dirait qu’il faut toujours plus d’options, d’écrans, de connectivité. J’aimerais juste un truc simple et fiable.
Dix nouveautés, c’est bien beau, mais quid de l’entretien ? Je me demande si les garages sont prêts à suivre le rythme.
Moi, ce qui me manque, c’est la simplicité d’avant. Pas la performance, mais le plaisir d’une mécanique qu’on comprend, qu’on peut réparer soi-même. Le côté « do it yourself » a disparu.
Moi, ce qui me plait, c’est l’évasion. Oublier le boulot, la ville… Juste la route et le vent. L’article parle de ça, un peu, et c’est pour ça que ça me parle.
L’appel de la route, oui, mais surtout de la route secondaire ! Les nationales et départementales, là où on a le temps de voir le paysage, c’est ça qui me manque dans les propositions actuelles.
Le « revenir » me fait sourire. Je n’ai jamais quitté le deux-roues. C’est un besoin, pas une mode.
Les nouveautés, c’est cool, mais est-ce que ça rendra les routes plus sûres ? C’est surtout ça qui me préoccupe.
Des nouveautés, oui, mais qui pensent aux trajets utilitaires ? Moi, c’est pour aller bosser, pas pour frimer le week-end.
2025… ça me laisse le temps d’économiser ! Faut voir les prix, parce que l’envie, elle, est toujours là.
L’article sonne comme une promesse de liberté, mais est-ce qu’on aura vraiment la place de rouler sur les routes avec tous ces SUV ?
L’argumentaire « contre les bouchons » est toujours le même. J’aimerais lire un article qui ose parler des inconvénients du deux-roues, pas seulement des rêves.
« Nouveautés », « 2025 »… Mouais. J’attends surtout des améliorations sur l’équipement. Un bon blouson qui fait pas ressembler à Robocop, ça serait déjà une révolution.
« Numéro 7 va vous tenter… » C’est du marketing pur et dur. J’aimerais autant qu’on me parle des gens qui utilisent ces machines au quotidien, leurs galères, leurs bonheurs. Le reste, c’est du vent.
Moi, c’est le confort qui me freine. J’ai mal au dos après 30 minutes. Si 2025 apporte des selles révolutionnaires, je signe !
Moi, ce qui me titille, c’est le bruit. On parle d’électrique, mais quid du reste ? J’aimerais un deux-roues discret, respectueux du voisinage. Le silence, c’est le vrai luxe.
L’engouement pour 2025 ? Pourquoi pas. Mais perso, j’aimerais surtout un peu plus de respect des autres usagers de la route envers les deux-roues. C’est ça, la vraie nouveauté que j’attends.
Moi, ce qui me manque, c’est le côté pratique. Où est-ce que je mets mon sac de courses ? Un top case intégré, esthétique, ça changerait tout !
Moi, ce qui me gêne, c’est la sécurité. On parle de puissance, d’agilité, mais quid des aides à la conduite vraiment efficaces pour éviter l’accident ? C’est ça, le vrai progrès.
Moi, ce qui me manque, c’est un sentiment de communauté. On est tellement seuls sur nos bécanes, un peu plus d’événements, de rencontres, ça ferait du bien.
Moi, ce qui me manque, c’est la simplicité. Tout devient tellement connecté, bourré d’électronique. J’aimerais retrouver un deux-roues basique, fiable, facile à réparer soi-même.
C’est marrant, cette focalisation sur les nouveautés. Moi, c’est l’odeur d’essence et le bruit du moteur qui me manquent. Un truc un peu vintage, quoi.
Le titre est accrocheur, c’est sûr. Mais honnêtement, ce qui me manque le plus, c’est le prix ! Des deux-roues accessibles, pour toutes les bourses, ça ce serait une vraie nouveauté.
L’article promet le retour du deux-roues, mais moi, je me demande si nos villes sont prêtes. Plus de motos, c’est plus de parkings nécessaires, et plus de bouchons potentiels quand même.
Des embouteillages, c’est sûr que ça donne envie de changer. Mais honnêtement, j’ai surtout peur de me faire voler mon scooter.
Mouais, « envie », c’est un grand mot. Moi, le deux-roues, ça me rappelle surtout les galères sous la pluie.
L’article est sympa, mais ça reste un fantasme. Le deux-roues, c’est génial, mais faut avoir le temps, l’envie et surtout… le budget équipement !
Revenir aux deux-roues ? C’est tentant sur le papier. Mais après 10 ans sans, je réalise que j’ai pris de mauvaises habitudes en voiture, comme écouter mes podcasts au chaud.
Les nouveautés, c’est bien joli, mais moi, j’attends surtout des améliorations sur la durée de vie des batteries des scooters électriques. L’autonomie actuelle est trop limitée.
Ce que j’aimerais, c’est un vrai guide pour débutants. Choisir sa première moto, l’équipement de base… ça me paraît un vrai parcours du combattant.
Le plaisir du vent sur le visage, ça, ça ne s’achète pas. C’est plus une question de sentiment, de liberté retrouvée, qu’une simple question de budget.
Dix nouveautés, c’est bien, mais quid de l’assurance ? C’est ça qui me freine à chaque fois.
L’excitation de la nouveauté est toujours là, mais je me demande si ces modèles sont vraiment pensés pour le quotidien, les courses, le boulot… Pas juste pour le plaisir du week-end.
Les nouveautés sont séduisantes, c’est vrai. Mais j’aimerais voir des efforts sur la sécurité routière pour les deux-roues. C’est ça qui me rassurerait vraiment.
L’argument des embouteillages, c’est sûr, ça parle. Mais pour moi, le vrai luxe, c’est la facilité de se garer. Trouver une place auto en ville, c’est devenu mission impossible.
L’article parle de 2025… J’espère que les prix des carburants seront plus stables d’ici là, sinon l’équation économique du deux-roues tombe à l’eau.
Moi, ce qui me manque le plus, c’est le bruit. Pas assourdissant, mais un bon son de moteur, ça fait partie du plaisir, non ? J’espère que les électriques sauront trouver un équivalent.
Moi, c’est l’odeur de l’essence qui me rebute un peu, pour être honnête. Le progrès, c’est bien aussi pour nos narines.
Moi, ce qui me bloque, c’est l’équipement. Investir dans un bon casque, un blouson… ça chiffre vite, et c’est pas toujours très glamour.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est le côté « mode ». On nous vend du rêve avec ces nouveautés, mais quid de la durabilité ? J’espère qu’on ne va pas se retrouver avec des engins obsolètes en deux ans.
L’idée de reprendre un deux-roues me titille. Mais j’ai peur de me sentir vulnérable face aux SUV qui ne font pas attention.
Je suis curieux de voir si ces modèles 2025 vont vraiment s’adapter à ma morphologie. Trouver une machine confortable quand on est grand, c’est toujours le parcours du combattant !
Moi, j’attends surtout de voir l’impact de ces nouveautés sur les assurances. L’augmentation risque d’être salée si tout le monde se remet à rouler.
Le deux-roues, c’est plus qu’un simple moyen de transport, c’est une liberté. J’ai hâte de voir ce que 2025 nous réserve, côté design surtout.
L’article est sympa, mais j’ai plus peur des autres usagers que des embouteillages. La route est devenue un vrai jungle, je trouve.
Dix nouveautés, c’est bien, mais quid de la formation ? On ne reprend pas le guidon après 10 ans sans un minimum de remise à niveau.
J’espère surtout que ces « nouveautés » ne vont pas rendre la circulation encore plus chaotique. On a déjà du mal à se faire respecter, alors si chacun se croit Valentino Rossi…
Dix nouveautés, c’est bien joli, mais est-ce que ça va vraiment améliorer l’expérience utilisateur au quotidien ? J’aimerais bien voir des améliorations concrètes sur la maniabilité et la facilité d’entretien, par exemple.
2025 et ses « nouveautés »… J’espère que ce ne sera pas juste une question de gadgets et de couleurs tape-à-l’œil. Un moteur fiable et une bonne autonomie, c’est ça qui compte vraiment pour moi.
Franchement, le côté pratique au quotidien m’intéresse plus que la puissance. Un coffre suffisant pour les courses, c’est ça le vrai luxe !
Mouais, des « nouveautés »… J’ai surtout l’impression que c’est le prix qui va innover, malheureusement.
Le deux-roues, c’est un rêve de gosse, mais le bruit me freine. J’espère des modèles plus silencieux et respectueux du voisinage.
Le deux-roues, c’est tentant, c’est vrai. Mais je me demande si c’est vraiment adapté à ma vie de famille. Faut voir l’aspect pratique au quotidien…
La promesse de liberté est séduisante, mais je me demande si l’infrastructure suit. Les pistes cyclables sont parfois un vrai champ de mines.
J’ai toujours adoré l’odeur de l’essence le matin, alors si ces nouveautés peuvent me la faire revivre… Je suis preneur !
Le numéro 7 va me tenter, vraiment ? J’attends surtout de voir si ces engins sont pensés pour les femmes. L’ergonomie est souvent un désastre.
L’article me donne envie de ressortir mon vieux casque du placard ! J’ai arrêté le scooter il y a quelques années, mais l’idée de m’y remettre… ça me titille.
J’attends surtout des avancées sur la sécurité. Les routes sont de plus en plus dangereuses, quel que soit le véhicule.
Revenir au deux-roues ? Pourquoi pas… mais j’ai surtout peur des autres usagers de la route qui ne font pas attention.
Moi, ce qui me retient, c’est le vol. Trop risqué d’investir dans un bel engin pour le retrouver en pièces détachées le lendemain.
Moi, le deux-roues, ça me rappelle surtout les galères pour se garer. Trouver une place devient un sport olympique, même en scooter.
Les embouteillages me rendent dingue, c’est sûr. Mais j’ai surtout peur de me prendre une portière en remontant une file. Ça m’est déjà arrivé en vélo, alors en moto…
Le titre est accrocheur, mais j’ai besoin de plus de détails. Quelles sont ces fameuses nouveautés ? Sans ça, difficile de se projeter et de réellement envisager un retour au deux-roues.
Le bruit! C’est ça qui me manque le plus. Pas le vacarme infernal, mais le ronronnement rassurant du moteur sous mes fesses. Un vrai compagnon de route.
2025 et les deux-roues… Mouais. L’électrique, c’est bien beau, mais l’entretien des batteries, ça coûte un bras ! Je préfère encore ma vieille bagnole, au moins je sais à quoi m’attendre.
Moi, c’est l’odeur de l’essence et le vent sur le visage qui me manquent. Une sensation de liberté qu’aucune voiture ne peut offrir.
Franchement, au-delà des nouveautés, c’est l’aspect pratique au quotidien qui compte. Est-ce que je peux vraiment faire mes courses avec ça ?
L’article me parle… Mais je me demande si ces nouveautés sont pensées pour les trajets quotidiens ou juste pour le plaisir du week-end.
« Revenir aux deux roues en 2025 ? Bof. J’ai adoré ça plus jeune, mais maintenant, je préfère le confort et la sécurité d’une voiture, surtout avec la famille. »
L’article fait rêver, c’est vrai. Mais avec le prix de l’essence, même un deux-roues économe devient un luxe…
L’idée de se faufiler entre les voitures me séduit toujours autant. Mais je me demande si mon dos apprécierait autant qu’avant… C’est plus ça, mon frein principal.
Moi, ce qui me refroidit, c’est le regard des autres. On a vite fait de passer pour un inconscient sur un deux-roues.
Le « regard des autres », le « mal de dos », le « prix de l’essence »… On dirait que les gens ont oublié le plaisir de conduire ! Pour moi, c’est simple : un deux-roues, c’est une thérapie sur roues.
L’article est sympa, mais ça oublie un truc : l’équipement ! Un bon casque, un blouson… ça chiffre vite. C’est un budget à prévoir en plus de la machine.
C’est marrant, on dirait qu’on oublie qu’il pleut 200 jours par an ! Le deux-roues, c’est super, mais pas sous la flotte.