Un neuropsychologue de 20 ans d’expérience révèle comment les réformes éducatives détruisent l’intelligence émotionnelle des enfants — technique de 5 minutes pour réparer les dégâts

Face à des enfants de plus en plus anxieux et déconnectés de leurs émotions, de nombreux parents se sentent démunis. Le problème prend racine dans un système éducatif qui, réforme après réforme, a privilégié la performance cognitive au détriment du bien-être. Un neuropsychologue de renom alerte sur ces dérives et propose une technique simple de 5 minutes par jour pour aider les enfants à se reconnecter à leur intelligence émotionnelle et réparer les dégâts.

Comprendre l’impact des réformes sur nos enfants

Le Dr. Antoine Dubois, neuropsychologue à Lyon avec plus de vingt ans d’expérience, tire la sonnette d’alarme. « On a sur-intellectualisé l’école au détriment du cœur », explique ce spécialiste de 52 ans. Il constate une augmentation inquiétante des troubles émotionnels chez ses jeunes patients, des enfants qui peinent à nommer ou à gérer ce qu’ils ressentent.

Son analyse lie directement ce phénomène aux réformes successives qui ont intensifié la pression académique. En se focalisant sur des évaluations standardisées, le système a progressivement effacé l’éducation aux émotions, laissant les enfants sans outils pour faire face à la frustration, au stress ou à la tristesse, ce qui affecte leur résilience à long terme.

Le mécanisme derrière la déconnexion émotionnelle

La solution proposée est un « scan émotionnel guidé » quotidien. Cette technique active des zones clés du cerveau : en mettant des mots sur une émotion, le cortex préfrontal (la zone de la raison) aide à réguler l’amygdale (le centre des émotions brutes). Ce simple dialogue interne ou avec un parent renforce les circuits neurologiques de la gestion émotionnelle, un apprentissage fondamental pour le développement.

La technique de 5 minutes pour tout changer

Les bénéfices de cette pratique sont multiples et rapides à observer. En seulement cinq minutes par jour, elle permet de réduire significativement le stress et l’anxiété infantile. Sur le plan social, un enfant plus conscient de ses propres émotions développe une meilleure empathie envers les autres. C’est un investissement minime en temps pour des gains considérables en matière de santé mentale et d’équilibre personnel.

Pour adapter l’exercice, plusieurs variantes existent. L’important est de rester simple et constant.

  • Pour les plus jeunes (3-6 ans) : Utilisez la métaphore de la « météo intérieure » (soleil, nuage, orage, pluie) pour les aider à identifier leur état émotionnel.
  • Pour les enfants (7-11 ans) : Posez des questions ouvertes comme « Quelle a été l’émotion la plus forte pour toi aujourd’hui ? Où l’as-tu sentie dans ton corps ? ».
  • Pour les adolescents : Encouragez la tenue d’un simple journal émotionnel, même avec un seul mot par jour, pour créer une habitude d’introspection.

Au-delà de la famille : un enjeu de société

Cette approche centrée sur l’intelligence émotionnelle dépasse largement le cadre familial. Elle est désormais au cœur des formations en leadership et en management dans les entreprises les plus performantes. Reconnaître et gérer les émotions est devenu un indicateur de réussite, ce qui met en lumière le retard préoccupant du système éducatif sur les compétences du futur.

Ignorer l’éducation émotionnelle à l’école a des répercussions sociétales profondes, contribuant à la hausse des problèmes de santé mentale et à la fragilisation du lien social. Réintroduire cette compétence est un levier puissant et peu coûteux pour bâtir une société plus apaisée et résiliente, où le développement humain prime sur la seule performance académique.

Approche Éducative Traditionnelle Approche Neuro-Éducative
Focalisation sur la mémorisation et les résultats Intégration des compétences cognitives et émotionnelles
Gestion de l’erreur par la sanction Utilisation de l’erreur comme opportunité d’apprentissage
Apprentissage uniforme pour tous Personnalisation des parcours selon les profils cognitifs

En attendant des réformes structurelles qui tardent à venir, cette technique simple offre aux parents un moyen d’action concret et immédiat. En consacrant ces quelques minutes chaque jour, ils ne font pas que panser les plaies d’un système défaillant ; ils posent les fondations d’une génération future plus consciente, équilibrée et, finalement, plus humaine.

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335 réflexions sur “Un neuropsychologue de 20 ans d’expérience révèle comment les réformes éducatives détruisent l’intelligence émotionnelle des enfants — technique de 5 minutes pour réparer les dégâts”

  1. Bof, encore un expert qui simplifie à l’extrême. Cinq minutes, vraiment ? On est pas des robots, l’émotionnel, ça se vit, ça se partage, pas juste un quick fix.

  2. Je suis d’accord sur le constat : l’école oublie trop l’humain. Mais je me demande si le problème vient vraiment des réformes, ou d’un manque de moyens et de formation des enseignants ?

  3. L’intelligence émotionnelle, c’est pas un muscle qu’on travaille 5 minutes. C’est dans la cour de récré, pendant les disputes, qu’on apprend.

  4. Je me souviens de mes propres angoisses d’enfant… Si seulement mes parents avaient eu une « technique » à me proposer. Peut-être que ça aurait aidé, qui sait ? Ça vaut la peine d’essayer, non ?

  5. Je suis toujours méfiant face aux titres alarmistes. L’intelligence émotionnelle, c’est aussi apprendre à gérer ses peurs face à des annonces catastrophes.

  6. Je me demande si on n’est pas en train de blâmer l’école pour tout. C’est facile, mais les écrans et le rythme de vie, ça joue pas un rôle aussi ?

  7. Je ne crois pas que l’école soit la seule responsable. Chez nous, c’est surtout la pression de la performance sportive qui mine son moral.

  8. L’école, c’est l’école. La vraie déconnexion émotionnelle, je la vois surtout dans la façon dont on communique en famille, souvent par écrans interposés.

  9. Une technique miracle de 5 minutes ? Ça me rappelle les régimes à la mode. On cherche la solution rapide, mais c’est le quotidien qui compte vraiment.

  10. Je suis plus préoccupé par le manque de moyens pour les enfants ayant de vraies difficultés émotionnelles. Une « technique », c’est joli, mais ça ne remplace pas un suivi psychologique adapté.

  11. Je me demande si cette « technique » ne risque pas de devenir une nouvelle injonction à la parentalité parfaite. Encore un truc à ajouter à notre to-do list déjà bien remplie.

  12. C’est marrant, moi je me demande si c’est pas le contraire. On infantilise tellement nos enfants qu’ils ne savent plus gérer leurs émotions seuls.

  13. Je suis sceptique. On diabolise toujours « les réformes ». Peut-être que l’intelligence émotionnelle évolue, tout simplement, avec l’époque ?

  14. L’intelligence émotionnelle, c’est pas inné ? J’ai l’impression qu’on est tous différents là-dessus, et que vouloir uniformiser, ça peut faire plus de mal que de bien.

  15. J’ai l’impression qu’on oublie le rôle des réseaux sociaux là-dedans. C’est une source constante de comparaison et de pression émotionnelle pour nos enfants.

  16. Moi, je me demande si on ne surestime pas l’importance de « l’intelligence émotionnelle » à l’école. Apprendre à lire et à compter, c’est déjà pas mal, non ? Le reste, ça s’apprend aussi dans la cour de récré.

  17. Moi, ce qui me frappe, c’est le timing. On parle d’intelligence émotionnelle maintenant, mais avant ? On laissait les enfants se débrouiller, point barre.

  18. Moi, je me demande si on ne cherche pas des boucs émissaires faciles. Les réformes, c’est pratique. Mais peut-être que les familles ont aussi changé, non ?

  19. Moi, je pense que c’est facile de blâmer l’école. Chez nous, c’est le rythme effréné qui pose problème. On court tout le temps, personne n’a le temps de respirer, encore moins d’écouter les émotions des autres.

  20. Je suis partagé. D’un côté, on sent bien un malaise. De l’autre, je me méfie des solutions miracles, surtout celles qui culpabilisent les parents. 5 minutes, ça me paraît court pour un problème aussi complexe.

  21. Je pense que l’article soulève un vrai problème de société. J’ai l’impression que l’école ne prend plus le temps de s’occuper du côté humain des enfants.

  22. L’école n’est pas la seule responsable. J’ai vu des parents tellement obsédés par la réussite scolaire qu’ils étouffent littéralement leurs enfants.

  23. C’est marrant, on dirait qu’on découvre que les enfants sont des êtres humains. Moi, j’ai surtout l’impression qu’on leur demande d’être performants trop tôt, point.

  24. J’ai l’impression que cet article surfe sur une vague. On nous vend de l’émotionnel comme on vendait du bio il y a 10 ans. Est-ce que c’est vraiment ça le problème de fond ?

  25. Ce qui me dérange, c’est qu’on présente l’intelligence émotionnelle comme une compétence à acquérir, une sorte de nouveau logiciel à installer. C’est plus profond que ça, non ?

  26. Je me demande si on ne médicalise pas un peu trop l’enfance. Avant, on disait juste « il est timide » ou « il a du caractère ».

  27. Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on instrumentalise l’enfance pour justifier des choix politiques. L’enfant devient un argument, pas un sujet.

  28. Moi, je me demande si on écoute vraiment les enfants ou si on projette nos propres angoisses sur eux. Ils sont peut-être plus résilients qu’on ne le pense.

  29. Moi, je me demande si cet expert a observé mes enfants. Ils semblent très bien dans leurs baskets, malgré les réformes. Peut-être que ça dépend des enfants, finalement?

  30. Moi, je trouve ça un peu facile de toujours taper sur l’école. On oublie que les enfants passent aussi beaucoup de temps devant les écrans, et ça, ça a un impact énorme sur leur façon d’interagir.

  31. Moi, je suis plus préoccupé par le temps qu’on passe à pointer du doigt les coupables. Agir, concrètement, ça se passe où et comment ?

  32. Moi, je me souviens de mes propres angoisses d’enfant. On ne mettait pas de mots dessus, on faisait avec. Peut-être que c’est ça qui manque aujourd’hui ?

  33. Une technique de 5 minutes, ça me paraît bien court pour compenser des années de « dégâts ». Je me demande si ce n’est pas une promesse un peu vaine.

  34. Je me souviens surtout des silences à la maison, des non-dits. Parler des émotions, c’était presque tabou. Peut-être que cette technique, c’est juste un moyen d’ouvrir la porte à la parole.

  35. Je me demande si on ne complique pas trop les choses. Quand j’étais petit, on jouait dehors, on se disputait, on se réconciliait. C’était ça, notre « intelligence émotionnelle ».

  36. L’école n’est pas la seule responsable, mais elle participe. À la maison, on est tellement pris par le quotidien qu’on oublie de demander « comment tu te sens aujourd’hui ? ».

  37. Je suis sceptique. On dirait qu’on cherche une solution miracle à un problème complexe. L’intelligence émotionnelle, c’est pas une pilule qu’on avale en 5 minutes.

  38. Je ne crois pas à la destruction de l’intelligence émotionnelle. Elle se transforme, c’est tout. Chaque génération a son propre langage émotionnel.

  39. Je me demande si on attend trop de l’école. C’est avant tout aux parents d’éveiller les enfants à leurs émotions. C’est à la maison que ça commence, non ?

  40. J’ai l’impression qu’on panique un peu vite. Les enfants sont différents, l’école aussi. Chaque génération a ses défis, on ne peut pas tout ramener à une « destruction ».

  41. Je suis partagé. L’école actuelle, c’est une course contre la montre. On oublie l’humain derrière les notes. Peut-être que ces 5 minutes, c’est un peu, mais c’est déjà ça.

  42. Je ne suis pas sûr que ce soit une destruction, mais plutôt un déplacement. L’empathie s’exprime aujourd’hui différemment, via d’autres canaux numériques.

  43. Moi, je vois surtout des enfants épuisés. L’école est un marathon, même pour les plus jeunes. On leur demande tellement, si vite. Forcément, quelque chose craque.

  44. Moi, je me souviens surtout des heures passées à copier des leçons sans comprendre. On nous demandait d’être des robots, pas des êtres sensibles. L’école a toujours été comme ça, non ?

  45. Ce qui me frappe, c’est la pression constante. On dirait qu’on exige des enfants une maturité émotionnelle qu’on a du mal à avoir nous-mêmes.

    C’est facile de pointer l’école du doigt, mais on vit dans un monde qui va vite, très vite.

  46. L’article me laisse un goût amer. On infantilise les parents, comme si on avait besoin d’un « expert » pour parler à nos enfants.

  47. Je me demande si le problème n’est pas plus large que l’école. On valorise tellement la réussite individuelle, la compétition… Comment s’étonner que les enfants absorbent ça ?

  48. Je me demande si on ne se trompe pas de cible. L’école est un reflet de la société, pas sa cause. C’est l’ensemble du système qui est à revoir.

  49. L’article oublie un truc essentiel : l’impact des écrans. Les gosses sont scotchés, ils interagissent moins en vrai, forcément l’émotionnel en prend un coup.

  50. Je me demande si on n’attend pas trop de l’école. C’est un lieu d’apprentissage avant tout, pas un centre de thérapie émotionnelle.

    Peut-être que la solution se trouve davantage dans le foyer familial, là où les premières émotions se construisent.

  51. Je me demande si on considère assez le rôle des enseignants dans tout ça. Ils sont souvent débordés, mal formés à gérer les émotions des enfants, et eux-mêmes soumis à une pression énorme.

  52. C’est un peu alarmiste comme titre, non ? On dirait qu’on cherche le coupable facile.

    Je me demande si cette « technique » miracle ne risque pas de culpabiliser encore plus les parents déjà surchargés.

  53. Je suis sceptique. On cherche toujours un bouc émissaire, et l’école est une cible facile. Mais le problème est-il vraiment nouveau ?

  54. J’ai l’impression qu’on oublie l’essentiel : l’ennui. Avant, on s’ennuyait, et c’était là qu’on apprenait à gérer nos émotions.

  55. Je suis fatigué de ces articles qui nous font croire que nos enfants sont des bombes à retardement émotionnelles. Ils sont juste… des enfants.

  56. Moi, je me souviens surtout du temps qu’on passait dehors. Grimper aux arbres, se chamailler… c’était ça, l’apprentissage émotionnel.

  57. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on infantilise les émotions. Comme si on pouvait les « réparer » avec une astuce. Elles sont là, complexes, et c’est à nous, adultes, de les accueillir.

  58. L’intelligence émotionnelle, c’est pas un truc qu’on apprend en 5 minutes. C’est le résultat d’années de petites discussions, de câlins, de moments partagés.

  59. Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on cherche des solutions rapides. L’intelligence émotionnelle, c’est pas un pansement, c’est une fondation. On la construit sur le long terme.

  60. L’expression « intelligence émotionnelle » me paraît souvent galvaudée. On dirait un nouveau mot à la mode pour dire simplement « être bien dans sa peau ».

  61. Si seulement mon fils pouvait déconnecter de Fortnite 5 minutes, ce serait déjà une victoire. L’intelligence émotionnelle, on verra après.

  62. En tant qu’ancien enfant « surdoué », je me demande si l’accent mis sur l’intellect n’a pas toujours existé, au détriment de l’épanouissement global. Le problème n’est peut-être pas si nouveau.

  63. Un neuropsychologue, d’accord, mais est-ce qu’on écoute les profs sur le terrain ? Ils voient bien, eux aussi, l’évolution des élèves.

  64. Je trouve ça ironique qu’on cherche des « techniques » pour compenser un système qui, selon l’article, déshumanise l’éducation. On dirait qu’on met un sparadrap sur une jambe de bois.

  65. Je suis partagé. L’article pointe un vrai malaise, mais cette technique miracle me rend sceptique. On dirait un peu « 5 fruits et légumes par jour » appliqué aux émotions.

  66. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de « réparer les dégâts ». On dirait qu’avant, tout allait bien. Mais est-ce qu’on a jamais vraiment su écouter les enfants ?

  67. Moi, je me demande si on ne confond pas « intelligence émotionnelle » avec une incapacité croissante à gérer la frustration. Les enfants doivent-ils vraiment être heureux tout le temps ?

  68. Moi, je vois surtout que les enfants ont moins de temps libre non structuré qu’avant. On les inscrit à tout, mais quand est-ce qu’ils apprennent à s’ennuyer et à gérer ça ?

  69. L’article me rappelle les cours de philo au lycée. On dissèque tout, on théorise… mais concrètement, comment on fait pour aider nos enfants ?

  70. J’ai l’impression que chaque génération a son lot de critiques sur l’éducation. Est-ce que c’était vraiment mieux avant, ou est-ce juste un biais de nostalgie ?

  71. Je suis curieux de connaître cette fameuse technique, mais j’espère qu’elle n’est pas simpliste. L’intelligence émotionnelle, ça se travaille au quotidien, pas en 5 minutes chrono.

  72. Ce qui me dérange, c’est qu’on blâme toujours l’école. L’éducation émotionnelle commence à la maison, non ? On ne peut pas tout déléguer.

  73. J’ai l’impression que cet article vise surtout à culpabiliser les parents déjà débordés. On nous dit qu’on échoue, et on nous promet une solution miracle. Ça me fatigue.

  74. Moi, ça me parle. Mon fils, il est super bon à l’école, mais dès qu’il y a un souci avec ses copains, il panique complètement. On dirait qu’il n’a aucun filtre.

  75. Je me demande si cette « destruction » n’est pas juste une évolution. Les émotions exprimées sont peut-être différentes, pas moins présentes.

  76. Je me demande si on ne confond pas intelligence émotionnelle et simple politesse. On attend peut-être des enfants qu’ils soient toujours souriants et adaptables, mais c’est irréaliste.

  77. Ça me fait penser à ma propre enfance. On ne parlait jamais d’émotions à la maison. Je me demande si c’est vraiment pire aujourd’hui ou si on en parle juste plus ouvertement.

  78. Je me demande si on ne sur-diagnostique pas un peu ? Les enfants sont peut-être juste… des enfants, avec leurs hauts et leurs bas.

    Peut-être que le problème, c’est justement cette pression constante à « être épanoui » ?

    Moi, ce qui m’inquiète, c’est le temps d’écran.

  79. Je me demande si on n’oublie pas l’impact de la société elle-même. Les réseaux sociaux et la course à l’image parfaite n’aident pas, loin de là.

  80. Je me méfie des experts qui pointent du doigt un seul coupable. La vie d’un enfant, c’est un écosystème complexe, pas un simple algorithme scolaire.

  81. Je me demande si on ne cherche pas à médicaliser un problème qui est avant tout social. L’enfant ressent l’atmosphère générale, la tension ambiante.

  82. Moi, je me demande si on ne surestime pas l’impact de l’école. L’intelligence émotionnelle, ça se construit surtout à la maison, non ?

  83. C’est vrai que l’école met l’accent sur les notes, mais j’ai aussi l’impression que certains parents démissionnent un peu de leur rôle d’éducateur émotionnel.

  84. L’article parle de l’intelligence émotionnelle des enfants, mais on oublie souvent que les adultes autour d’eux sont aussi en difficulté avec leurs propres émotions.

  85. L’article me rappelle l’importance de l’écoute. On cherche des techniques, mais parfois, simplement entendre ce que nos enfants ressentent, sans jugement, ça suffit déjà.

  86. Je suis curieux de connaître cette technique de 5 minutes. Si c’est vraiment efficace, ça vaut peut-être le coup d’essayer, même si je suis sceptique.

  87. J’ai l’impression qu’on infantilise beaucoup les émotions des enfants. Ils sont capables de comprendre bien plus qu’on ne le pense. Peut-être qu’on devrait juste leur parler plus franchement.

  88. Peut-être que le problème, c’est qu’on veut « réparer » quelque chose qui n’est pas cassé. Les émotions, c’est pas une machine. Laissons les enfants vivre, tout simplement.

  89. L’école n’est pas la seule responsable. Les écrans, omniprésents, isolent aussi les enfants de leurs propres ressentis. On leur propose un monde filtré, pas la vraie vie.

  90. Je pense que cet article pointe du doigt une réalité que je ressens aussi avec mes neveux. Ils savent réciter des formules, mais ont du mal à verbaliser ce qu’ils vivent. C’est inquiétant.

  91. L’article sonne un peu alarmiste, non ? Mes enfants semblent bien dans leurs baskets malgré les réformes. Peut-être que ça dépend des enfants et de leur environnement familial, plus que de l’école elle-même.

  92. Je me demande si on ne met pas trop de pression sur les enfants à être émotionnellement performants, comme s’il fallait cocher une nouvelle case sur leur bulletin.

  93. J’ai l’impression qu’on a toujours reproché quelque chose à l’école. Avant, c’était le manque de discipline, maintenant c’est l’inverse. C’est peut-être juste la nature humaine de se plaindre.

  94. Moi, ce qui m’interpelle, c’est qu’on se focalise sur « réparer ». Ne faudrait-il pas plutôt changer la façon dont on considère les émotions à l’école, les intégrer au lieu de les voir comme un …

  95. Moi, je me souviens qu’enfant, personne ne parlait d’intelligence émotionnelle. On apprenait sur le tas, en se cognant. Peut-être qu’on s’en sortait pas si mal, finalement.

  96. Moi, je me dis que cette histoire de « technique de 5 minutes » pour réparer l’intelligence émotionnelle, ça sent un peu le gadget. On dirait une solution miracle vendue comme un produit.

  97. Je me demande si on oublie pas que les parents ont aussi un rôle crucial à jouer dans l’éducation émotionnelle. L’école ne peut pas tout faire.

  98. Je me demande si cet article n’oublie pas le rôle des réseaux sociaux dans tout ça. C’est là que mes enfants passent leur temps, pas à l’école.

  99. J’ai l’impression qu’on infantilise de plus en plus les enfants. Les laisser explorer leurs émotions, quitte à se tromper, ne serait-ce pas plus formateur ?

  100. Est-ce qu’on ne confond pas hypersensibilité et manque d’intelligence émotionnelle ? C’est peut-être ça le vrai problème.

  101. J’ai l’impression qu’on met tout sur le dos de l’école. Mes enfants sont bien plus influencés par leurs copains et les modes qu’on voit partout. L’école, c’est juste une petite partie.

  102. Ce qui m’inquiète, c’est la pression sur les enfants. On leur demande d’être performants ET émotionnellement équilibrés. C’est un peu contradictoire, non ?

  103. Je me demande si cette « perte » d’intelligence émotionnelle n’est pas plutôt un changement de forme. Les enfants expriment peut-être différemment, avec d’autres codes que les nôtres.

  104. C’est peut-être naïf, mais je crois que l’école a changé. Avant, on apprenait surtout à réfléchir. Maintenant, on dirait qu’on veut des robots performants. Ça change forcément les gamins.

  105. Je suis partagé. L’école n’est pas parfaite, mais diaboliser les réformes me semble excessif. Peut-être que la société entière a changé, et l’école s’adapte tant bien que mal.

  106. SportifDuDimanche

    Moi, je vois surtout des parents dépassés qui cherchent des solutions miracles. Cinq minutes, ça me paraît bien court pour réparer des années…

  107. Je suis un peu sceptique. On a toujours dit que « c’était mieux avant ». Est-ce qu’on ne projette pas nos propres angoisses sur les enfants d’aujourd’hui ?

  108. L’article me fait penser à ma propre enfance. J’aurais adoré avoir quelqu’un pour m’aider à comprendre mes émotions quand j’étais petit.

    Peut-être que l’école n’est pas la seule responsable, mais elle a un rôle à jouer.

  109. ProvincialeHeureuse

    Je me demande si on ne surestime pas l’impact de l’école. J’ai l’impression que la télé et les réseaux sociaux façonnent bien plus leurs émotions que les profs.

  110. MécanicienRetraité

    Je suis plus inquiet des écrans omniprésents que des réformes scolaires. Ils volent l’attention et la capacité à ressentir le monde réel.

    L’école a toujours été un lieu de compétition, ce n’est pas nouveau.

  111. InstitutricePassionnée

    Je me demande si on ne confond pas intelligence émotionnelle et absence de frustration. Peut-être qu’on veut des enfants qui ne ressentent plus d’émotions négatives, plutôt que des enfants capables de les gérer.

  112. Cet article me touche, car je me demande si, en tant que parents, on ne reporte pas sur l’école nos propres difficultés à gérer nos émotions. On attend d’elle ce qu’on n’arrive pas à faire à la maison.

  113. Baptiste Bernard

    Je me demande si cette focalisation sur l’intelligence émotionnelle n’est pas une nouvelle injonction à la performance. Avant, il fallait être bon en maths, maintenant il faut « bien gérer ses émotions ».

  114. Clément Bernard

    Je me demande si cette « intelligence émotionnelle » n’est pas aussi une question de classe sociale. Certains enfants apprennent ça naturellement dans leur environnement familial, d’autres pas.

  115. Je me demande si on ne médicalise pas un peu trop l’enfance. Avant, on disait « il est timide » ou « il est colérique ». Maintenant, c’est un déficit d’intelligence émotionnelle.

  116. Étienne Bernard

    Franchement, l’idée de « réparer » l’intelligence émotionnelle en 5 minutes, ça sonne comme une promesse marketing un peu vide. On parle d’humain, pas d’un appareil qu’on répare.

  117. Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on cherche toujours des solutions rapides. L’intelligence émotionnelle, ça se construit sur le long terme, avec des interactions humaines riches et variées.

  118. Guillaume Bernard

    J’ai l’impression que cet article surfe sur une vague de culpabilisation des parents. On nous dit constamment qu’on fait mal, et maintenant l’école en rajoute une couche. Ça devient usant.

  119. Moi, j’aimerais bien savoir ce que cette « technique de 5 minutes » implique concrètement. Ça m’intrigue plus que le blâme généralisé.

  120. Moi, je suis surtout frappé par le mot « détruire ». C’est quand même violent. L’école fait peut-être des erreurs, mais de là à parler de destruction…

  121. Moi, ça me rappelle mon enfance. On ne parlait pas d’intelligence émotionnelle, mais on avait des rituels familiaux simples qui nous aidaient à nous sentir bien. Peut-être que c’est ça, la clé.

  122. Je me demande si cette alerte n’est pas un peu tardive. On se rend compte maintenant que l’émotionnel est important, mais pendant des années, on a valorisé que le QI. C’est dommage.

  123. Je ne crois pas que l’école soit la seule responsable. L’omniprésence des écrans et le manque de temps passé en famille doivent aussi jouer un rôle important dans cette « déconnexion émotionnelle ».

  124. Je me souviens de ma prof de français au collège. Elle passait un temps fou à nous faire décortiquer les émotions des personnages. C’était pas toujours fun, mais avec le recul, c’était peut-être ça, l’intelligence émotionnelle à l’ancienne.

  125. Je trouve ça ironique qu’on blâme les réformes éducatives alors que, personnellement, j’ai appris l’empathie en lisant des romans obligatoires en cours de français.

  126. Je trouve qu’on idéalise souvent l’enfance d’avant. On avait peut-être plus de temps, mais on n’était pas forcément plus écoutés.

  127. C’est vrai qu’on est tellement pris par le « faire » qu’on oublie d’apprendre à « être ». J’ai l’impression que mes enfants sont plus performants que moi à l’école, mais parfois… moins heureux.

  128. Sébastien Bernard

    L’école n’est pas un moule à émotions, c’est sûr. Mais je pense que c’est surtout à la maison que ça se joue, non ? L’exemple, ça compte plus que n’importe quelle « technique ».

  129. L’école a toujours été un reflet de la société. Si les enfants manquent d’intelligence émotionnelle, c’est peut-être parce que nous, adultes, ne la montrons pas assez.

  130. Cette « technique de 5 minutes », ça me fait penser à ces régimes miracles… Pas sûr que l’émotion, ça se travaille comme ça, à la minute près.

  131. Alexandre Bernard

    Moi, ce qui m’inquiète, c’est pas tellement l’école, c’est le monde qu’on leur prépare. Comment développer son intelligence émotionnelle quand l’avenir fait flipper ?

  132. Benjamin Bernard

    Et si on arrêtait de chercher des coupables ? L’intelligence émotionnelle, ça s’apprend tout au long de la vie, pas seulement à l’école ou dans l’enfance.

  133. Christophe Bernard

    Moi, j’aimerais bien savoir ce que cette technique de 5 minutes a de si spécial. Est-ce que ça marche vraiment, ou c’est juste du marketing ?

  134. Je suis sceptique. L’école a ses limites, mais accuser les réformes de tout, c’est facile. L’intelligence émotionnelle, ça vient aussi des interactions avec les autres, du monde extérieur.

  135. Emmanuel Bernard

    Je me demande si on ne cherche pas un bouc émissaire facile. L’école n’est pas parfaite, mais accuser les réformes me semble réducteur.

  136. François Bernard

    Je me demande si le problème n’est pas plutôt l’injonction à être « heureux » constamment, qui étouffe l’expression des émotions difficiles.

  137. Grégoire Bernard

    J’ai l’impression que cet article pointe un vrai problème, mais je me demande si on évalue vraiment l’intelligence émotionnelle de nos enfants. On la voit peut-être différemment ?

  138. L’article me touche, car je vois des enfants submergés par leurs émotions. Est-ce que l’école est seule responsable ? Peut-être pas, mais elle pourrait faire plus pour les aider à les gérer.

  139. L’article me fait penser à mon fils, qui a toujours eu du mal à nommer ce qu’il ressent. On dirait que les mots lui manquent, comme si on n’avait pas pris le temps de lui apprendre.

  140. Moi, ce qui me frappe, c’est le « neuropsychologue de renom ». On nous vend toujours de la solution miracle validée par un expert. Ça me fatigue un peu, ces raccourcis.

  141. J’ai l’impression que l’article sursimplifie. L’intelligence émotionnelle, c’est pas un truc qu’on « répare » en 5 minutes, c’est un apprentissage constant.

  142. Béatrice Bernard

    Je trouve ça bien qu’on en parle, mais j’ai l’impression qu’on oublie l’impact du numérique sur tout ça. Les écrans, c’est un filtre énorme entre les enfants et le monde réel, les émotions des autres.

  143. Moi, ce qui me gêne, c’est cette idée de « réparer ». On dirait qu’on parle d’un objet cassé. Les émotions, c’est pas réparable, c’est vivant et ça évolue.

  144. Delphine Bernard

    Je me demande si on ne met pas trop de pression sur l’enfant à décortiquer chaque émotion. Parfois, il faut juste les ressentir, sans forcément les nommer.

  145. Je suis sceptique. On diabolise souvent les changements, mais chaque génération a ses défis émotionnels, non ?

    Je trouve l’idée de « technique de 5 minutes » un peu ridicule.

  146. Gabrielle Bernard

    C’est facile de blâmer l’école. Mais quand je vois le temps que passent les enfants sur les jeux vidéo, je me demande si le problème ne vient pas de là.

  147. Isabelle Bernard

    L’école a bon dos. J’ai surtout l’impression que le rythme de vie actuel, pour les parents et les enfants, ne laisse plus de place à l’ennui, à la rêverie, des moments essentiels pour se connaître.

  148. Moi, je me demande si on n’est pas en train de créer une nouvelle norme : l’enfant « parfaitement » émotionnellement intelligent. Et si c’était ça, le problème ?

  149. Un neuropsychologue qui trouve une solution miracle en 5 minutes… Ça me rappelle un peu les pubs pour maigrir. J’aimerais bien voir l’étude scientifique derrière ça.

  150. Cette « technique de 5 minutes » me fait penser aux injonctions au bonheur. On culpabilise déjà les parents, pas besoin d’en rajouter.

  151. Je suis plus inquiet du manque de temps que nous avons tous, enfants et adultes, pour simplement *être*. Cinq minutes, c’est mieux que rien, mais ça me semble un emplâtre sur une jambe de bois.

  152. Je me souviens de ma propre enfance… on avait juste le droit de ne pas faire de vagues. L’intelligence émotionnelle, c’était tabou. Peut-être qu’aujourd’hui, on va juste trop loin dans l’autre sens.

  153. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de réparer. Et si on essayait d’abord de ne pas casser ? Peut-être que ralentir serait déjà une bonne base.

  154. Je me demande si on ne sous-estime pas l’impact des écrans sur tout ça. On parle de l’école, mais le temps passé devant les tablettes, c’est colossal.

  155. Je me demande si on ne cherche pas trop à intellectualiser les émotions. Parfois, un câlin et un moment de calme partagé valent mieux que toutes les techniques.

  156. Valérie Bernard

    Mes enfants passent leur temps à se comparer aux autres sur les réseaux. Avant de blâmer l’école, je me demande si le problème ne vient pas de là.

  157. L’école a sa part, c’est sûr, mais je pense que l’ambiance à la maison joue un rôle énorme. Si on est stressé, les enfants le ressentent.

  158. Brigitte Bernard

    Je me demande si on n’attend pas trop des enfants, tout simplement. On leur demande d’être performants, émotionnellement intelligents, et heureux, tout le temps. C’est peut-être ça le problème.

  159. Catherine Bernard

    C’est bien beau de pointer l’école, mais les parents, on fait quoi ? On se dédouane complètement ? On est les premiers modèles émotionnels de nos enfants, non ?

  160. Et si cette « déconnexion » émotionnelle était aussi une forme d’adaptation à un monde de plus en plus complexe et rapide ? Est-ce forcément négatif ?

  161. Florence Bernard

    J’ai l’impression qu’on redécouvre l’eau chaude. On savait déjà que bourrer les crânes ne suffit pas.

    La technique de 5 minutes, c’est du pansement sur une jambe de bois si le reste du temps on exige la perfection.

  162. L’article me touche. Je vois mon petit dernier qui rentre de l’école, épuisé. On dirait une petite pile qu’on a vidée. Il a 6 ans, on devrait encore jouer aux billes.

  163. Huguette Bernard

    Je suis sceptique. On cherche toujours un coupable, et l’école est une cible facile. L’intelligence émotionnelle, c’est aussi une construction personnelle, non ?

  164. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de « réparer les dégâts ». On dirait qu’on considère les enfants comme des objets cassés. Ils ont juste besoin d’être écoutés, pas réparés.

  165. Jacqueline Bernard

    Un neuropsychologue qui trouve une solution miracle en 5 minutes ? Ça me rappelle les pubs pour maigrir. J’aimerais bien que ce soit aussi simple, mais j’en doute.

  166. Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on infantilise les parents. On nous vend des solutions toutes faites, alors que chaque enfant est différent. On devrait nous faire confiance.

  167. Le titre est alarmiste, c’est sûr. Mais au fond, je me demande si on ne confond pas simplement l’expression des émotions avec de l’immaturité.

  168. L’intelligence émotionnelle, c’est comme un muscle : si on ne l’utilise pas, elle s’affaiblit. L’école, c’est la salle de sport ou le canapé ?

    C’est fou de voir comment on externalise toujours la faute.

  169. Je me demande si on ne sur-diagnostique pas un problème qui a toujours existé. L’enfance a toujours été une période d’apprentissage émotionnel parfois difficile.

  170. Guillaume Dubois

    C’est vrai que l’école est devenue une course. Mais le problème, c’est peut-être qu’on oublie de leur apprendre à perdre, tout simplement.

  171. Je me demande si cette « déconnexion » n’est pas juste une autre façon de grandir, avec d’autres défis. Peut-être qu’on s’inquiète trop.

  172. Personnellement, je vois surtout une perte de temps de qualité en famille. On est tous tellement pris qu’on ne se pose plus pour discuter simplement.

  173. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée que l’école *détruit* l’intelligence émotionnelle. C’est fort de café. Peut-être qu’elle ne l’encourage pas assez, mais de là à la détruire…

  174. L’école a bon dos. J’ai l’impression que le problème se situe surtout dans la frénésie de nos vies d’adultes, qu’on transmet à nos enfants. On est les premiers à ne plus prendre le temps de ressentir.

  175. Moi, ça me fait penser à mes propres souvenirs d’école. On nous disait de nous taire, de faire nos devoirs. Pas vraiment d’espace pour dire comment on se sentait.

  176. L’école n’est pas un monstre. J’ai l’impression qu’on oublie le rôle des parents dans l’apprentissage des émotions. C’est à la maison que ça commence, non ?

  177. L’école n’est pas seule responsable, mais elle a sa part. On attend d’elle qu’elle forme des têtes bien faites, mais on oublie souvent de leur apprendre à vivre.

  178. L’école est un bouc émissaire facile. Mais si les enfants étaient juste plus sensibles qu’avant? On projette nos angoisses d’adultes, non?

  179. Sébastien Dubois

    Peut-être que le problème n’est pas tant la destruction de l’intelligence émotionnelle, mais son évolution vers d’autres formes, adaptées à un monde différent ?

  180. Cette « technique de 5 minutes », c’est quoi ? Encore une mode pseudo-scientifique ? J’aimerais savoir si c’est réellement efficace, ou juste une promesse marketing pour parents désespérés.

  181. Je me demande si ce neuropsychologue a vraiment mis les pieds dans une école publique récemment. Le discours est toujours le même, mais la réalité du terrain est bien plus complexe qu’un simple « destruction ».

  182. Alexandre Dubois

    L’article me laisse un goût amer. On dirait qu’on cherche encore un coupable, alors que la solution est peut-être dans l’acceptation de cette nouvelle génération.

  183. J’ai l’impression qu’on confond intelligence émotionnelle et expression émotionnelle. Ce n’est pas parce qu’un enfant ne pleure pas en public qu’il est déconnecté de ses émotions.

  184. Christophe Dubois

    Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on instrumentalise l’intelligence émotionnelle. On dirait qu’elle doit servir à être performant, même dans ses sentiments.

  185. Je me demande si on ne cherche pas trop à médicaliser l’enfance. Avant, les enfants étaient « simplement » turbulents ou rêveurs…

  186. L’urgence, c’est peut-être juste de laisser les enfants s’ennuyer un peu, non ? Sans écrans, sans activités planifiées. Le vide, ça crée aussi des choses.

  187. François Dubois

    Ce que je trouve dommage, c’est qu’on oublie souvent l’importance de l’exemple. Les enfants apprennent autant, sinon plus, par mimétisme que par des techniques.

  188. Grégoire Dubois

    Je me demande si on ne surestime pas l’impact de l’école. La famille, l’environnement social, tout ça compte aussi énormément, non ?

  189. Moi, je me dis que c’est peut-être nous, les parents, qui sommes trop stressés et qu’on le transmet à nos enfants, tout simplement.

  190. Peut-être que le problème, c’est qu’on n’écoute plus les enfants. On leur propose des solutions toutes faites sans chercher à comprendre ce qu’ils vivent vraiment.

  191. Je me demande si cette alerte ne vient pas d’une nostalgie d’une enfance idéalisée qui n’a jamais vraiment existé. Les enfants ont toujours eu des défis, différents certes, mais réels.

  192. Béatrice Dubois

    Peut-être que le problème n’est pas de « réparer » les enfants, mais d’accepter qu’ils ressentent des choses différentes de nous. Chaque génération a son propre langage émotionnel.

  193. L’idée de la technique de 5 minutes me parle. J’ai toujours pensé que même une petite dose d’attention sincère pouvait faire une grande différence.

  194. L’intelligence émotionnelle, c’est aussi apprendre à gérer la frustration. Peut-être que cette « destruction » est juste une adaptation à un monde plus complexe.

  195. J’ai l’impression qu’on infantilise beaucoup les enfants. Les laisser gérer leurs émotions, même négatives, ne serait-ce pas la meilleure école ?

  196. Gabrielle Dubois

    Je trouve ça intéressant de voir un expert parler de ça. Mon fils est en primaire et je le vois souvent dépassé par ses émotions, et je me sens un peu perdue pour l’aider.

  197. J’ai l’impression qu’on oublie souvent que les parents sont aussi sous pression. Comment voulez-vous être un modèle émotionnel stable quand vous êtes vous-même épuisé ?

  198. Je me demande si cette « technique » n’est pas une façon détournée de vendre encore quelque chose aux parents anxieux. On nous fait culpabiliser, puis on nous propose une solution miracle.

  199. Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on en arrive à quantifier l’émotion en « minutes ». Ça sonne faux, comme si on pouvait cocher une case « émotion » dans l’emploi du temps.

  200. Moi, ce qui me frappe, c’est le terme « détruire ». C’est un peu fort, non ? On dirait qu’on parle d’une machine cassée.

  201. Moi, j’ai l’impression qu’on se focalise sur l’enfant sans voir le système. C’est toute la société qui est devenue émotionnellement pauvre, non ? L’école n’est qu’un reflet.

  202. Je me demande si on n’a pas toujours idéalisé l’enfance. Avant, on était moins « conscients », mais est-ce qu’on était plus malheureux pour autant ?

  203. Ça me rappelle mon enfance, quand on nous disait juste d’arrêter de pleurer. On s’en est remis, non ? Peut-être qu’on en fait trop.

  204. En tant qu’ancien enfant « à problèmes » à l’école, je me dis que l’intelligence émotionnelle, c’est peut-être juste apprendre à gérer sa sensibilité, pas la supprimer.

  205. L’article sonne un peu alarmiste, mais je me souviens de mon fils rentrant de l’école, incapable de dire ce qu’il ressentait face à une injustice. Ça m’a vraiment interpellé.

  206. Ce qui me dérange, c’est qu’on accuse les réformes. J’ai l’impression que c’est plus un manque de temps et de moyens pour les enseignants qui nuit à l’accompagnement émotionnel.

  207. J’ai l’impression que cet article oublie une chose : l’influence des écrans. Les enfants passent tellement de temps devant, ça doit bien impacter leur façon de ressentir et d’exprimer leurs émotions.

  208. Je me demande si on ne confond pas « intelligence émotionnelle » et « sur-analyse ». Peut-être que les enfants ont juste besoin de jouer, pas de décortiquer chaque sentiment.

  209. Je trouve ça ironique. On prône l’épanouissement, mais on stresse nos enfants avec la pression scolaire. L’équilibre est où ?

  210. Catherine Dubois

    Je suis tiraillé. L’idée de cette technique de 5 minutes me séduit, mais j’ai peur que ça devienne une nouvelle injonction à la performance, même émotionnelle.

  211. Moi, je me demande si l’école n’est pas juste le reflet d’une société qui marche sur la tête. On est tous stressés, alors pourquoi les enfants seraient différents ?

  212. Moi, je me demande si on ne cherche pas à médicaliser l’enfance. Avant, c’était juste être timide ou colérique, maintenant c’est un déficit d’intelligence émotionnelle.

  213. Je me demande si on n’attend pas trop des enfants. Ils ont le droit d’être maladroits avec leurs émotions, non ? C’est en grandissant qu’on apprend.

  214. Cette histoire de « technique de 5 minutes » me fait sourire. On dirait qu’on cherche une solution miracle à un problème bien plus profond.

  215. Franchement, l’intelligence émotionnelle, je ne sais pas trop. Mes enfants ont l’air bien dans leurs baskets, et pourtant, on ne fait rien de spécial.

  216. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’isolement. On vit dans des bulles, chacun sur son portable. Comment voulez-vous qu’ils apprennent à se connecter aux autres ? C’est pas juste l’école le problème.

  217. Jacqueline Dubois

    C’est facile de blâmer les réformes. Peut-être que le vrai problème, c’est qu’on a oublié de simplement écouter nos enfants, sans chercher à analyser ou à « réparer » quoi que ce soit.

  218. Je suis fatigué d’entendre que tout est de la faute des réformes. On dirait qu’on cherche toujours un bouc émissaire facile. Et si, parfois, c’était juste nous, les parents, qui étions dépassés…

  219. Si seulement cette technique existait vraiment ! J’aimerais bien savoir si ce neuropsychologue a des enfants…

    On est tous coupables, parents, école, société.

  220. Je crois que l’urgence, c’est de déconnecter nos enfants des écrans, pas de chercher une nouvelle « technique ». Le reste suivra peut-être.

  221. Je me demande si on ne confond pas « intelligence émotionnelle » avec « conformité émotionnelle ». On veut des enfants qui expriment leurs émotions d’une certaine façon, pas forcément des enfants qui les comprennent vraiment.

  222. Je me demande si cette « technique » ne risque pas de devenir une nouvelle injonction, un truc de plus à faire parfaitement. Laissons-les respirer, bon sang !

  223. L’urgence, selon moi, c’est d’accepter que nos enfants ne soient pas des clones émotionnels de nous-mêmes. Le reste… c’est du marketing.

  224. Guillaume Durand

    L’article parle d’intelligence émotionnelle, mais oublie la joie pure, l’émerveillement. On dirait que les émotions « négatives » sont le seul problème.

  225. Cette « technique miracle » me fait penser aux régimes à la mode. Promesses rapides, résultats incertains. Peut-être que l’attention sincère vaut mieux que cinq minutes chronométrées.

  226. Je suis prof. L’article tape juste sur un point : l’obsession de la note étouffe tout. On n’a plus le temps d’aider un enfant à dire ce qu’il ressent vraiment.

  227. L’article me fait penser à mes propres souvenirs d’enfance. J’aurais aimé qu’on me parle de mes émotions, pas qu’on me dise de me taire quand j’étais « trop sensible ».

  228. Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on médicalise l’enfance. Bientôt, on prescrira des « séances d’émotion » remboursées par la sécu.

  229. Moi, je me dis que si les enfants ont du mal à gérer leurs émotions, c’est peut-être aussi parce que nous, les adultes, on n’est pas toujours des modèles à suivre.

  230. Je me demande si on ne surestime pas l’impact des réformes scolaires sur le ressenti profond des enfants. N’y a-t-il pas d’autres facteurs plus importants ?

  231. Moi, je crois que l’école est devenue un marathon de compétences. On oublie que grandir, c’est aussi apprendre à tomber et se relever. Les émotions, c’est le pansement sur les genoux écorchés de la vie.

  232. On dirait qu’on panique un peu vite. Les enfants ont toujours eu des hauts et des bas, non ? Peut-être qu’on en parle juste plus.

  233. Je suis sceptique. On cherche toujours un coupable facile : l’école. Mais la télé, les jeux vidéo, ça n’a aucun impact ?

  234. Je me demande si ce n’est pas une histoire de génération. Mes parents ne s’en souciaient pas, et je ne m’en porte pas plus mal. Peut-être qu’on en fait trop.

  235. Sébastien Durand

    L’école n’est pas la seule responsable, mais elle a sa part. J’observe une pression énorme sur les jeunes, c’est palpable.

  236. L’intelligence émotionnelle, c’est pas inné ? J’ai l’impression que certains enfants naissent juste plus « équipés » que d’autres, réforme ou pas.

  237. Ce qui me frappe, c’est qu’on parle de « réparer les dégâts ». Comme si les émotions étaient une machine cassée. C’est un peu réducteur, non ?

  238. Alexandre Durand

    Je suis curieux de savoir quelle est cette technique de 5 minutes. Si c’est applicable à la maison, ça vaut la peine d’essayer, non ?

  239. Je suis prof et je vois bien que les gamins sont stressés, mais de là à dire que l’école « détruit » leur intelligence émotionnelle… Ça me paraît un peu fort de café.

  240. Christophe Durand

    Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on externalise encore la responsabilité de l’éducation émotionnelle. C’est d’abord aux parents d’être présents et à l’écoute, non ?

  241. Moi, je me demande si on n’oublie pas le rôle des réseaux sociaux dans tout ça. La comparaison constante, c’est peut-être ça le vrai problème.

  242. François Durand

    Je me demande si ce n’est pas un peu le serpent qui se mord la queue. On stresse les enfants pour qu’ils réussissent, et après on s’inquiète de leur bien-être…

  243. Grégoire Durand

    Est-ce qu’on ne confond pas simplement le mal-être actuel avec un manque d’intelligence émotionnelle ? Peut-être que les enfants ont juste besoin qu’on les écoute, point.

  244. J’ai l’impression qu’on cherche un coupable facile. Peut-être que le monde est juste devenu plus complexe et que les enfants le ressentent.

  245. Je me demande si on ne cherche pas trop de solutions rapides. L’intelligence émotionnelle, ça se construit sur le long terme, avec des expériences.

  246. Je me souviens de ma propre enfance. On ne parlait jamais d’émotions à l’école. Peut-être qu’on est juste plus conscient du problème aujourd’hui.

  247. Je me demande si cette focalisation sur l’intelligence émotionnelle ne risque pas d’infantiliser encore plus les enfants. La vie, c’est aussi apprendre à gérer des émotions désagréables.

  248. Béatrice Durand

    Moi, je me souviens surtout que petit, on me disait de ne pas pleurer. C’est peut-être juste ça, le problème, non ? Apprendre à accepter nos émotions, pas à les cacher.

  249. L’école n’est pas la seule responsable. On attend aussi des enfants qu’ils soient performants partout, tout le temps. C’est un peu étouffant.

  250. J’ai l’impression qu’on oublie souvent que chaque enfant est différent. Ce qui marche pour l’un ne marchera pas forcément pour l’autre.

  251. Une technique de 5 minutes, ça me paraît un peu court pour contrebalancer des années d’injonctions à la performance. J’aimerais bien savoir de quoi il s’agit concrètement.

  252. Le titre me fait penser à une pub pour une lessive miracle. On dirait qu’on peut « réparer » les enfants comme on répare un vêtement abîmé. C’est un peu réducteur, non ?

  253. Gabrielle Durand

    Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on parle d’intelligence émotionnelle comme d’une compétence à acquérir, alors que c’est avant tout une question de relation et d’écoute.

  254. Ce qui m’interpelle, c’est l’idée que l’école « détruit » l’intelligence émotionnelle. C’est peut-être aussi que les parents, pris dans le tourbillon du quotidien, ont moins de temps pour ça.

  255. Je suis dubitatif. On dirait qu’on veut faire porter le chapeau à l’école. N’est-ce pas une façon de déculpabiliser les parents qui sont aussi très occupés ?

  256. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de « réparer » quelque chose. Pourquoi ne pas simplement accompagner l’enfant dans ce qu’il ressent, sans chercher à tout prix à le changer ?

  257. Je me demande si on ne met pas un peu trop de pression sur l’école. Mes enfants vont bien, et je ne suis pas sûr que ce soit grâce à une « technique » particulière.

  258. J’ai l’impression qu’on diabolise les réformes. Peut-être que l’école essaie juste de s’adapter à un monde qui change vite.

  259. Je me demande si cette « déconnexion » émotionnelle n’est pas un phénomène plus large, lié à notre rapport aux écrans, plus qu’aux seules réformes scolaires.

  260. Je trouve ça rassurant qu’un expert s’exprime, même si la solution miracle me semble utopique. Au moins, ça rappelle qu’il faut faire attention à l’équilibre de nos enfants.

  261. Moi, je me demande si on surestime pas l’impact des réformes scolaires sur l’épanouissement global de l’enfant. Le foyer, c’est quand même la base, non ?

  262. Cinq minutes, ça me semble court pour compenser des années de pression et de compétition. On ne répare pas l’humain avec un chronomètre.

  263. L’intelligence émotionnelle, c’est pas inné ? J’ai l’impression qu’on cherche des coupables partout alors que certains enfants sont juste plus sensibles que d’autres.

  264. J’aimerais connaître la technique avant de juger. 5 minutes, c’est peut-être un point de départ pour une discussion plus profonde.

  265. Moi, je me souviens surtout de mes propres angoisses d’enfant. L’école était un facteur, certes, mais pas le seul. C’est un tout, un contexte.

  266. Moi, j’aimerais savoir si cette technique fonctionne aussi sur les adultes ! J’ai l’impression d’être parfois émotionnellement complètement dépassé…

  267. L’école, c’est la vie en miniature. Apprendre à gérer ses émotions, ça devrait être intégré comme les maths. Dommage qu’on attende un « expert » pour le rappeler.

  268. Catherine Durand

    Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on médicalise l’enfance. L’anxiété, le mal-être, ça fait aussi partie de grandir, non ? On ne peut pas vouloir gommer toutes les aspérités.

  269. Je suis partagé. D’un côté, l’école évolue, c’est normal. De l’autre, j’ai l’impression qu’on oublie l’essentiel : laisser les enfants être des enfants.

  270. Je me demande si cette « technique » n’est pas juste un pansement sur une jambe de bois. Le problème est plus profond, ça commence dès la crèche parfois.

  271. Un neuropsychologue qui propose une solution miracle en 5 minutes, ça me fait toujours un peu sourire. On dirait une pub pour une lessive.

    Je me demande si on n’est pas en train de créer une nouvelle norme d’enfant « parfaitement équilibré ».

  272. J’ai l’impression que l’article pointe un vrai problème, mais la solution me fait penser aux recettes de développement personnel à la mode. On simplifie à l’extrême.

  273. Je trouve ça culpabilisant pour les parents. On nous dit déjà qu’on n’éduque pas assez bien, maintenant l’école s’y met aussi… Ras le bol de se sentir toujours fautif.

  274. L’intelligence émotionnelle, c’est surtout une affaire de famille, non ? L’école peut aider, mais elle ne remplacera jamais l’exemple des parents.

  275. Jacqueline Durand

    Je me demande si l’école n’est pas devenue une arène où les enfants doivent performer émotionnellement, en plus du reste. On leur demande d’être résilients, empathiques… c’est beaucoup, non ?

  276. Je suis plus inquiet pour les profs, déjà débordés, à qui on demande toujours plus. Comment peuvent-ils gérer ça en plus du reste ?

  277. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de « réparer les dégâts ». On dirait qu’on considère l’enfant comme une machine cassée. Un peu triste, non ?

  278. C’est fou comme on médicalise tout, maintenant même les émotions ont besoin d’un « expert » et d’une « technique ». On n’a plus le droit de juste être un enfant ?

  279. Je me souviens, petit, on s’ennuyait parfois. On avait le droit de rêvasser, de ne rien faire. Est-ce qu’on laisse encore cette place aux enfants aujourd’hui ?

  280. Moi, je me demande si cette « technique » n’est pas juste une mode de plus. On cherche des solutions rapides à des problèmes profonds.

  281. J’ai l’impression qu’on oublie que l’enfant apprend aussi beaucoup en dehors de l’école, dans la vraie vie. Les émotions, on les vit, on ne les apprend pas dans un manuel.

  282. Je me demande si cette focalisation sur l’intelligence émotionnelle ne risque pas de créer une nouvelle forme de pression sur les enfants. Faut-il encore « réussir » ses émotions ?

  283. Une technique de 5 minutes ? Ça ressemble plus à un pansement sur une jambe de bois qu’à une solution durable. J’aimerais savoir ce qu’on entend vraiment par « intelligence émotionnelle ».

  284. Cette histoire de neuropsychologue, ça me rappelle surtout que l’enfance est un business juteux. On nous vend la peur et la solution en même temps.

  285. Peut-être que le problème, c’est qu’on cherche à appliquer une méthode uniforme à des enfants qui sont tous différents. Chacun ressent et exprime à sa manière.

  286. L’urgence, c’est surtout de réapprendre à écouter nos enfants, sans chercher à tout prix une solution miracle. Le reste suivra.

  287. L’école n’est pas la seule responsable. Les écrans, omniprésents, absorbent l’attention des enfants et les coupent de leurs propres ressentis. C’est peut-être là le vrai problème.

  288. Je suis fatigué de toujours entendre que c’était mieux avant. Chaque génération a ses défis, et les enfants d’aujourd’hui aussi ont des forces que nous n’avions pas.

  289. Je suis plus inquiet de l’isolement social croissant des enfants que des réformes scolaires. On vit de moins en moins ensemble, on partage de moins en moins.

  290. Sébastien Leroy

    Franchement, je crois qu’on idéalise beaucoup trop l’enfance d’avant. Y a toujours eu des soucis, juste qu’ils étaient différents.

  291. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de « réparer les dégâts ». C’est déjà considérer que nos enfants sont cassés. Peut-être qu’ils sont juste différents de ce qu’on attendait ?

  292. Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’idée que l’école serait *la* cause. J’ai l’impression qu’on oublie le rôle primordial de la famille dans tout ça.

  293. Moi, j’ai l’impression qu’on confond souvent éducation émotionnelle et absence de frustration. Apprendre à gérer ses émotions, c’est aussi accepter qu’on ne peut pas toujours avoir ce qu’on veut.

  294. Je me demande si cette « technique de 5 minutes » ne risque pas d’ajouter une couche de stress supplémentaire aux parents déjà débordés.

  295. Je me demande si cette focalisation sur l’intelligence émotionnelle n’est pas une façon de détourner l’attention des vrais problèmes, comme le manque de moyens dans l’éducation.

  296. Je me demande si on ne surestime pas le rôle de l’école. Mes enfants, c’est surtout à la maison qu’ils apprennent à décoder leurs émotions, en me voyant gérer les miennes.

  297. Cette histoire de neuropsychologue, ça me fait penser aux gourous du développement personnel. Une technique miracle en 5 minutes ? J’y crois moyen…

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