Automobilistes excédés par l’arrivée de nouvelles taxes écologiques sur le carburant qui ruinent leurs déplacements quotidiens

L’année 2025 s’annonce particulièrement difficile pour le portefeuille des automobilistes français. Face à une augmentation significative de la fiscalité écologique, de nombreux conducteurs voient leurs frais de déplacement quotidien exploser. La principale raison est la hausse de la taxe carbone et le durcissement du malus écologique, des mesures destinées à accélérer la transition énergétique mais qui pèsent lourdement sur le budget des ménages, surtout ceux qui dépendent de leur véhicule pour travailler.

La nouvelle fiscalité écologique qui frappe les conducteurs

Dès le début de l’année, le constat est amer pour des millions de conducteurs. Les nouvelles taxes, présentées comme des outils de lutte contre le réchauffement climatique, se traduisent par une augmentation directe des coûts à la pompe et à l’achat d’un véhicule neuf. Cette pression fiscale accrue suscite une vague d’incompréhension et de colère, notamment dans les territoires ruraux et périurbains où la voiture reste indispensable.

  • Hausse de la taxe carbone.
  • Durcissement du malus écologique.
  • Introduction de nouvelles contraintes.

Le témoignage d’un artisan face à la flambée des prix

« Je passe ma journée sur la route pour voir mes clients, mon véhicule est mon outil de travail », confie Julien Dubois, 42 ans, artisan près de Chartres. « Chaque passage à la pompe devient une source d’angoisse. Ces nouvelles taxes menacent directement la rentabilité de ma petite entreprise. »

  • Profession : artisan du bâtiment.
  • Localisation : Eure-et-Loir.
  • Problématique : dépendance totale à son véhicule utilitaire.

Comprendre l’impact du malus écologique 2025

Le mécanisme du malus écologique a été considérablement renforcé. Auparavant déclenché à partir de 118 g/km, le seuil est désormais abaissé à 113 g/km de CO₂. Cette modification élargit le nombre de véhicules concernés, y compris des modèles familiaux jusqu’ici épargnés, rendant l’achat d’une voiture neuve bien plus onéreux.

Un effet cumulatif sur le budget automobile

La taxe sur le carburant n’est pas la seule à augmenter. Les automobilistes subissent une hausse généralisée des coûts, créant un effet d’accumulation difficile à supporter pour de nombreux foyers. L’entretien, l’assurance ou encore les péages voient leurs tarifs grimper, alourdissant encore la facture finale.

Poste de dépense Augmentation prévue en 2025
Assurance automobile +5 à 8%
Tarifs des péages +2 à 3%
Entretien et réparations +3 à 6%

Les autres taxes qui alourdissent la facture

Au-delà du malus sur le CO₂, une autre taxe gagne en importance : le malus au poids. Initialement réservé aux véhicules thermiques très lourds, son champ d’application s’étend. Cette mesure vise à pénaliser les voitures les plus massives, jugées plus énergivores et plus dangereuses, y compris certains modèles électrifiés.

  • Seuil de déclenchement abaissé.
  • Montant par kilo supplémentaire augmenté.

Des stratégies pour tenter d’amortir le choc

Face à cette flambée des prix, les conducteurs cherchent des solutions pour réduire leurs dépenses. L’éco-conduite, qui consiste à adopter un style de conduite plus souple, permet de réaliser jusqu’à 15% d’économies de carburant. D’autres explorent le covoiturage ou, lorsque c’est possible, les transports en commun.

  • Adopter une conduite anticipative.
  • Vérifier régulièrement la pression des pneus.
  • Limiter l’usage de la climatisation.

Une transition écologique aux répercussions sociales

Cette politique fiscale, si elle poursuit un objectif environnemental louable, soulève des questions d’équité sociale. Elle pénalise fortement les ménages modestes et les habitants des zones peu denses, qui n’ont souvent pas d’alternative à la voiture individuelle pour leurs déplacements essentiels, comme se rendre au travail ou accéder aux services.

Vers une redéfinition de la mobilité ?

À long terme, cette pression économique pourrait accélérer une transformation des habitudes. Le marché de l’occasion pour les petits véhicules plus sobres pourrait connaître un nouvel essor, tandis que les solutions de mobilité partagée pourraient se développer au-delà des grands centres urbains, redessinant ainsi le paysage de la mobilité en France.

  • Développement du covoiturage.
  • Intérêt accru pour les véhicules plus légers.
  • Pression pour améliorer les transports publics.

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347 réflexions sur “Automobilistes excédés par l’arrivée de nouvelles taxes écologiques sur le carburant qui ruinent leurs déplacements quotidiens”

  1. C’est toujours les mêmes qui trinquent. On nous demande de faire des efforts, mais on ne nous donne pas les moyens de changer nos voitures. Franchement, je me sens coincé.

  2. Je comprends l’objectif, mais j’espère que l’argent collecté sera vraiment réinvesti dans des alternatives viables et accessibles. Sinon, ça risque de créer beaucoup de tensions.

  3. Moi, je suis surtout inquiet pour les gens qui n’ont pas le choix. Vivre à la campagne et bosser en ville, c’est déjà un sacrifice. Encore un coup dur.

  4. J’ai l’impression qu’on nous culpabilise sans nous donner de solutions concrètes et abordables. On parle de transition, mais elle est où la transition si on ne peut plus se déplacer pour travailler…

  5. Personnellement, je pense que l’État devrait davantage subventionner les véhicules électriques d’occasion. Ça rendrait la transition plus accessible.

  6. Je me demande si ces taxes vont réellement changer les comportements. La peur du gendarme, est-ce que ça marche vraiment sur le long terme ?

  7. Franchement, j’ai l’impression que l’écologie est devenue un prétexte à ponctionner les classes moyennes. C’est facile de taper sur la voiture, mais il y a d’autres pollueurs, non ?

  8. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours du coût pour l’automobiliste. Mais quel est le coût de l’inaction face au changement climatique ? On l’oublie un peu vite, celui-là.

  9. J’ai vendu ma voiture et pris un vélo électrique. Au début, c’était dur, mais maintenant je me sens plus libre et en meilleure santé. Peut-être qu’il faut voir ça comme une opportunité.

  10. J’ai l’impression qu’on oublie que la voiture, c’est aussi un symbole de liberté, un outil pour voir sa famille. Tout le monde ne rêve pas d’habiter en centre-ville.

  11. J’ai l’impression qu’on oublie les artisans et les petits commerçants. Comment on fait pour livrer nos clients avec un vélo électrique ?

  12. Moi, je me demande si on a pensé à ceux qui travaillent de nuit ou en horaires décalés. Les transports en commun, c’est pas toujours une option.

  13. Je me demande si cette pression financière va enfin pousser les constructeurs à proposer des véhicules électriques abordables. L’offre actuelle est encore trop limitée pour beaucoup.

  14. J’en ai marre de me sentir coupable à chaque fois que je dois prendre ma voiture pour aller bosser. On dirait que tout est fait pour nous décourager.

  15. Franchement, je me demande si les décideurs ont déjà essayé de trouver un mécano compétent en dehors des grandes villes. La transition, c’est bien, mais on fait comment si nos garages ne suivent…

  16. Et si on parlait des entreprises qui profitent de tout ça ? C’est toujours le consommateur qui trinque, jamais les grandes industries.

  17. À mon avis, le problème n’est pas tant le coût, mais le manque de vision globale. On nous demande des efforts sans nous montrer clairement les bénéfices concrets pour notre qualité de vie.

  18. C’est facile de taper sur les automobilistes, mais on se demande toujours si l’État utilise vraiment cet argent pour des solutions alternatives concrètes.

  19. Moi, je commence à stresser pour ma vieille bagnole. Bientôt, elle sera carrément interdite de circulation, et je n’ai pas les moyens d’en changer.

  20. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’isolement que ces mesures risquent de créer. On va encore plus creuser l’écart entre ceux qui peuvent et ceux qui ne peuvent pas.

  21. Moi, je me demande si on ne met pas la charrue avant les bœufs. On taxe, on taxe, mais l’infrastructure de recharge, elle est où, concrètement, dans nos campagnes ?

  22. Moi, je pense qu’on oublie le plaisir de conduire. Bientôt, ce sera juste une contrainte économique, plus un loisir. Triste époque.

  23. Je me demande si ces taxes ne vont pas encourager les gens à rouler sans assurance ou sans contrôle technique pour économiser. Ça risque de créer d’autres problèmes.

  24. Franchement, j’ai l’impression qu’on est pris pour des vaches à lait.

    Je crois que le gouvernement oublie que certains trajets ne sont pas substituables.

  25. Je suis artisan et ma camionnette est mon outil de travail. Ces taxes, c’est plus qu’une gêne, c’est une menace pour mon activité.

  26. Et les transports en commun, on en parle ? Toujours bondés, rarement à l’heure, et ils desservent mal ma zone. Une alternative crédible, ce serait déjà ça.

  27. Moi, je me demande surtout si l’argent de ces taxes ira vraiment à des projets concrets pour l’environnement, ou si ce sera noyé dans le budget général.

  28. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la fracture territoriale que ça va creuser. Ceux qui habitent dans les grandes villes auront plus d’options, mais à la campagne, on est coincés.

  29. J’ai l’impression qu’on stigmatise toujours l’automobiliste, alors que beaucoup n’ont juste pas le choix. On vit pas tous à côté du métro, hein !

  30. Franchement, j’ai l’impression d’être pris en otage. On nous dit « transition », mais c’est surtout une punition financière.

  31. Je me demande si le gouvernement a pensé aux alternatives pour les voitures d’occasion, celles qui sont déjà sur le marché. On fait quoi avec ça?

  32. C’est toujours la même rengaine. On tape sur le porte-monnaie, mais on ne nous explique jamais comment on va vraiment améliorer les choses concrètement.

  33. Je comprends l’objectif, mais j’ai peur que ça pousse les gens à garder leurs vieilles voitures plus longtemps, ce qui serait contre-productif.

  34. Et si, au lieu de nous accabler de taxes, on nous aidait VRAIMENT à changer de véhicule ? Des primes plus importantes et plus simples, ça inciterait plus que ça ne punit.

  35. C’est vrai que ça coince niveau budget, mais perso, je pense aussi à mes enfants. Respirer un air moins crade, ça vaut peut-être quelques sacrifices, non ?

  36. Je suis fatigué d’entendre parler d’environnement quand je vois le gouvernement prendre l’avion pour des réunions sur le climat. On commence par montrer l’exemple, non ?

  37. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’effet sur les petits artisans et commerçants qui dépendent de leur camionnette. Vont-ils pouvoir continuer à travailler ?

  38. Moi, ce qui me dérange le plus, c’est ce sentiment d’être oublié par les décisions prises à Paris. Est-ce qu’ils se rendent compte de la réalité en province ?

  39. Moi, cette histoire de taxes, ça me rappelle surtout qu’on a pas tous les mêmes options. Habiter à la campagne et bosser en ville, c’est pas un choix, c’est une nécessité pour certains.

  40. Moi, ce qui me frappe, c’est le timing. Pile au moment où l’inflation bouffe déjà tout, ils remettent une couche. On dirait qu’ils cherchent à nous achever.

  41. Franchement, j’ai surtout l’impression qu’on nous demande de financer la transition énergétique à la place des entreprises qui polluent à grande échelle. C’est toujours le même qui trinque.

  42. Au fond, cette histoire de taxes, ça me force à me poser la question : est-ce que j’ai vraiment besoin de ma voiture autant que je le crois ? Peut-être que c’est l’occasion de changer mes habitudes.

  43. J’ai l’impression qu’on se focalise sur la voiture, mais qu’en est-il des alternatives ? On parle de transports en commun performants quand ?

  44. C’est toujours facile de taper sur l’automobiliste. On oublie vite que la voiture, c’est aussi un outil de travail pour beaucoup.

  45. C’est pas tant le montant que le sentiment d’être pris pour un pigeon. On nous promettait des aides, des alternatives, et finalement on a juste une facture plus salée.

  46. C’est sûr que ça fait grincer des dents. Perso, j’ai revendu ma voiture et je me suis mis au vélo électrique. Faut juste accepter d’arriver un peu en sueur au boulot !

  47. Je me demande si cette politique n’est pas trop brutale. On nous force à changer sans nous laisser le temps de nous adapter financièrement.

  48. Moi, je vois surtout que ça va encore complexifier la vie des familles avec enfants. Comment on fait pour emmener tout le monde à leurs activités sans voiture ?

  49. Je me demande si cette transition énergétique ne crée pas une nouvelle forme d’inégalité. Ceux qui peuvent facilement se permettre de changer de véhicule seront moins touchés.

  50. Franchement, je crains surtout que ça profite aux plateformes de VTC. Rouler en électrique deviendra un luxe, et les seuls à pouvoir se le permettre feront du transport à la demande.

  51. J’ai l’impression que l’État oublie ceux qui habitent à la campagne. Sans voiture, on est coincés. C’est comme si on nous punissait d’habiter loin des villes.

  52. J’ai l’impression qu’on se focalise trop sur la voiture individuelle. Et les transports en commun, on en parle quand ? Investir là-dedans, ça aiderait tout le monde.

  53. Je me demande si l’état a vraiment anticipé les conséquences sur l’artisanat. Mon fourgon, c’est mon outil de travail, pas un loisir !

  54. Et si on pensait à l’innovation ? Au lieu de taxer, on pourrait encourager la recherche et développement de carburants moins polluants, non ?

  55. Ça me rappelle l’époque où on nous disait que le diesel était la solution. J’ai du mal à faire confiance aux discours « écologiques » qui changent tous les 5 ans.

  56. C’est bien beau de parler d’écologie, mais est-ce qu’on a pensé à la formation des mécanos pour les nouvelles voitures ? Bientôt, personne ne saura les réparer.

  57. Je me demande si cette précipitation ne va pas simplement décaler le problème. On va importer massivement des véhicules électriques fabriqués à l’étranger, avec des conséquences environnementales ailleurs.

  58. Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on va encore se retrouver avec une prime à la casse dérisoire pour des voitures qui valent encore quelque chose.

  59. Je comprends l’objectif, mais j’ai peur que ça crée une fracture sociale encore plus grande.

    C’est rageant de toujours avoir l’impression de payer pour les erreurs des autres.

  60. Franchement, j’ai l’impression qu’on nous prend pour des vaches à lait. On nous culpabilise sans cesse, alors que beaucoup n’ont juste pas le choix.

  61. J’ai l’impression qu’on oublie la réalité géographique de beaucoup de Français. Comment faire quand on habite à 30 bornes de tout sans alternative crédible ?

  62. J’ai l’impression qu’on oublie que les voitures, c’est pas juste un loisir pour beaucoup, c’est un outil de travail. Ces taxes, c’est un coup dur pour les artisans et les commerciaux.

  63. On parle beaucoup du coût pour nous, mais pas assez du coût pour la planète si on ne fait rien. C’est un investissement nécessaire, même si douloureux.

  64. On nous parle toujours de la voiture individuelle, mais qu’en est-il des entreprises et des transports de marchandises ? C’est toujours le particulier qui trinque.

  65. Moi, je commence à me demander si l’État a vraiment conscience du prix d’une voiture aujourd’hui, assurance, entretien… sans parler du carburant. On est déjà étranglés !

  66. Personnellement, je pense que l’État devrait cibler les véhicules les plus polluants en priorité. Pourquoi pénaliser ceux qui ont déjà fait l’effort d’acheter une voiture récente, même thermiq…

  67. Franchement, l’écologie, c’est important, mais on dirait qu’on nous demande de payer pour la même chose plusieurs fois. Entre la taxe à l’achat et celle au quotidien…

  68. C’est facile de dire qu’il faut changer quand on habite en ville avec le métro au pied de l’immeuble. Mais à la campagne, on fait comment pour aller bosser ?

  69. J’ai l’impression qu’on stigmatise toujours le déplacement. On nous fait culpabiliser d’aller travailler.

    Marre de cette hypocrisie. On veut une vie « comme avant » mais sans les inconvénients.

  70. Je me demande si ces taxes ne vont pas créer une fracture sociale encore plus grande. Ceux qui peuvent payer continueront comme avant, et les autres galéreront.

  71. Je viens de refaire mes calculs et, honnêtement, je vais devoir sérieusement revoir mes priorités de dépenses. Le cinéma et les restos vont probablement y passer.

  72. Au lieu de râler, je me demande si c’est pas l’occasion de repenser complètement notre rapport au travail. Est-ce qu’on a vraiment besoin de se déplacer autant ?

  73. Je suis surtout inquiet pour les jeunes qui débutent dans la vie active. Comment se loger et travailler quand le moindre trajet devient un luxe ?

  74. Je travaille à mi-temps justement pour pouvoir payer mes factures. J’ai peur que ce « mi-temps » devienne un « sans emploi » à cause de ça.

  75. J’ai l’impression qu’on se focalise sur le coût direct, mais qu’en est-il des emplois verts promis ? On compense comment la perte de pouvoir d’achat si c’est pour créer d’autres inégalités ?

  76. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de la voiture individuelle. Et les transports en commun dans les zones rurales, on en parle quand ?

  77. Peut-être que c’est le signal qu’il faut se forcer à consommer local, quitte à changer nos habitudes. On dépend trop de l’extérieur.

  78. J’ai l’impression d’être pris en otage d’une transition que je n’ai pas choisie. On me demande de payer, mais je ne vois pas d’alternatives concrètes et abordables pour moi.

  79. C’est toujours les mêmes qui trinquent. J’ai l’impression que l’écologie devient un impôt déguisé pour les classes moyennes.

    Pourquoi ne pas taxer les jets privés à la place ? Ça aurait plus …

  80. C’est pas tant l’augmentation qui me dérange, c’est l’impression qu’on nous prend pour des vaches à lait sans nous expliquer clairement où va l’argent.

  81. Au-delà du coût, je trouve qu’on oublie souvent l’impact psychologique de ces annonces. On se sent impuissant face à un avenir qu’on nous impose.

  82. J’habite en montagne, la voiture, c’est pas un luxe, c’est vital. On nous parle de transition, mais en attendant, je fais comment pour aller bosser ?

  83. On dirait qu’on veut nous faire changer de voiture, mais est-ce que tout le monde peut se le permettre ? C’est un peu facile de culpabiliser les gens.

  84. Je suis d’accord sur le fond, mais l’urgence climatique exige des mesures. Peut-être faudrait-il mieux accompagner les foyers modestes dans cette transition.

  85. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’isolement que ça va créer. On va se retrouver entre ceux qui peuvent et les autres. Triste perspective.

  86. Pour ma part, je crains que ces taxes ne profitent surtout aux frontaliers qui iront faire le plein ailleurs, sans changer fondamentalement leurs habitudes.

  87. J’ai l’impression qu’on attaque le symptôme et pas la cause. On pénalise l’usage sans s’attaquer à l’absence d’alternatives viables dans beaucoup de régions.

  88. Je suis chauffeur-livreur. On me demande d’être « éco-responsable » mais mon outil de travail, c’est mon fourgon diesel. Comment je nourris ma famille, moi ?

  89. J’ai surtout peur que ça encourage les gens à rouler sans assurance pour économiser. C’est le genre de mesure qui a des conséquences inattendues.

  90. Franchement, j’en ai marre qu’on nous infantilise. On sait tous qu’il faut faire des efforts. Pourquoi ne pas être plus transparents sur l’utilisation de cet argent ? Qu’on sache à quoi ça sert réellement.

  91. Moi, ce qui me frappe, c’est le timing. On nous annonce ça en plein marasme économique. C’est un peu comme demander à quelqu’un de courir un marathon avec un boulet au pied.

  92. Moi, je me demande si ça va vraiment changer les choses sur le long terme ou si c’est juste une façon de faire rentrer de l’argent.

  93. Et si au lieu de nous accabler de taxes, on nous aidait concrètement à acheter des véhicules moins polluants ? Une prime à la conversion digne de ce nom, par exemple.

  94. J’ai vendu ma voiture il y a deux ans et je prends le vélo. Honnêtement, je me sens plus libre et en meilleure santé. Peut-être que c’est une opportunité pour certains de repenser leurs habitudes…

  95. Moi, j’ai juste peur qu’on crée encore plus de tensions entre ceux qui peuvent et ceux qui ne peuvent pas s’adapter. C’est ça le vrai problème.

  96. SportifDuDimanche

    Pour ma part, ça me décourage. J’ai l’impression qu’on met la charrue avant les bœufs. On taxe avant de proposer des alternatives viables pour tous, surtout en zone rurale.

  97. On dirait qu’on oublie que la bagnole, c’est aussi un outil de travail pour beaucoup. Comment je fais, moi, pour aller sur les chantiers sans mon utilitaire ?

  98. Franchement, j’ai l’impression qu’on oublie souvent qu’une bagnole, c’est aussi une source de plaisir, un symbole de liberté. Cette culpabilisation constante, ça lasse.

  99. MécanicienRetraité

    Je me demande si cette politique ne va pas surtout avantager les plus aisés, qui pourront se permettre de passer à l’électrique sans sourciller. Un peu facile, non ?

  100. InstitutricePassionnée

    Moi, ce qui m’agace, c’est qu’on nous présente ça comme « écologique » alors que l’argent partira probablement dans des projets qui n’ont rien à voir.

  101. J’ai l’impression qu’on nous parle d’écologie, mais surtout de faire rentrer de l’argent dans les caisses. Ça sent l’enfumage, et ça, ça me met en colère.

  102. Clément Bernard

    J’ai l’impression qu’on nous infantilise. On nous dit « c’est pour votre bien », mais on ne nous fait pas confiance pour changer par nous-mêmes. Un peu plus de pédagogie, ça ne ferait pas de mal.

  103. À mon avis, le problème c’est la brutalité du changement. On ne peut pas demander aux gens de changer leurs habitudes du jour au lendemain.

  104. Étienne Bernard

    Je crois qu’on sous-estime l’impact psychologique de ces mesures. On se sent punis, alors qu’on a juste besoin de solutions abordables.

  105. Ils parlent toujours de « transition ». Mais c’est qui, « ils » ? On dirait qu’ils sont dans une tour d’ivoire, loin des galères du quotidien.

    Je me demande si ces taxes tiennent compte des réalités géographiques.

  106. Guillaume Bernard

    Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de la voiture individuelle. Et les transports en commun dans les zones rurales, on en parle quand ?

  107. Je change de voiture dans deux ans. J’espère qu’il y aura des alternatives électriques abordables d’ici là, sinon je suis coincé.

  108. Franchement, j’ai peur qu’on crée une fracture sociale encore plus grande avec ces mesures. Ceux qui n’ont pas le choix vont juste s’endetter davantage.

  109. Je me demande si ces taxes ne vont pas simplement déplacer le problème. Les gens vont peut-être garder leurs vieilles voitures plus longtemps, polluant encore plus.

  110. Personnellement, je trouve qu’on tape toujours sur les mêmes. Les entreprises qui polluent à grande échelle, elles, sont moins inquiétées, non ?

  111. Moi, je me demande si on a vraiment regardé comment les gens utilisent leur voiture. C’est pas toujours pour le plaisir, hein.

  112. Moi, ce qui me dérange, c’est ce sentiment d’être pris pour des vaches à lait. On nous parle de transition, mais on ne nous donne pas les moyens de la faire.

  113. J’en ai marre d’entendre toujours les mêmes complaintes. On dirait que personne ne voit l’urgence climatique. Faut bien agir, non ?

  114. Sébastien Bernard

    J’ai l’impression qu’on nous présente toujours ça comme une fatalité. On ne parle jamais des innovations possibles, des progrès en cours… Ça me décourage.

  115. Ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les petits artisans et commerçants. Ils dépendent tellement de leur camionnette pour travailler. On pense à eux ?

  116. Alexandre Bernard

    Franchement, ça me fait penser à mon père. Il râle déjà pour le prix de l’essence, alors 2025… ça va être l’apocalypse à la maison.

  117. J’ai l’impression que le gouvernement oublie qu’on n’a pas tous le même point de départ. Certains sont déjà à la traîne.

  118. Emmanuel Bernard

    J’ai vendu ma vieille voiture diesel l’année dernière. Je me suis juré que je ne me ferais plus avoir. Ça me forcera peut-être à prendre le vélo plus souvent, tant pis.

  119. François Bernard

    Ces mesures me rappellent surtout que je devrai peut-être déménager un jour, quitter cette maison que j’aime tant, à cause de tout ça.

  120. Grégoire Bernard

    Moi, ce qui me dérange le plus, c’est l’impression de toujours payer pour les erreurs des autres, les grosses industries surtout.

  121. Moi, j’ai peur qu’on crée une fracture entre ceux qui peuvent se permettre de changer, et ceux qui sont coincés avec leur vieille bagnole.

  122. J’ai l’impression qu’on nous prend toujours un peu par surprise, sans qu’on ait vraiment le temps de s’organiser. On nous parle transition, mais à quel rythme ?

  123. Béatrice Bernard

    C’est vrai que ça fait peur, mais peut-être que ça poussera enfin les constructeurs à proposer des voitures électriques vraiment abordables.

  124. Franchement, ça me gonfle qu’on nous culpabilise sans arrêt. J’ai l’impression d’être puni pour utiliser ma voiture, alors que j’habite à la campagne et que j’ai pas vraiment le choix.

  125. Delphine Bernard

    Et si on arrêtait de voir ça comme une punition, et plutôt comme un signal clair qu’il est temps de repenser nos modes de vie ?

  126. J’ai l’impression qu’on oublie souvent que ces taxes, c’est aussi pour financer des alternatives. On se focalise sur ce qu’on perd, pas sur ce qu’on pourrait gagner.

  127. J’ai l’impression qu’on oublie un peu le plaisir de conduire. Bientôt, on ne parlera plus que de coût au kilomètre, plus d’évasion. Triste époque.

  128. Hélène Bernard

    Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’inflation que ça va générer sur les produits de première nécessité. Tout est transporté par camion, non ?

  129. Isabelle Bernard

    J’ai l’impression qu’on voit toujours la voiture comme un dû. Peut-être qu’il est temps de se demander si on en a *vraiment* besoin pour chaque déplacement.

  130. Moi, ce qui me frappe, c’est que le débat se concentre toujours sur la voiture individuelle. On oublie les transports en commun, qui sont souvent saturés et peu fiables en dehors des grandes villes.

  131. Je me demande si l’état a vraiment mesuré l’impact psychologique de ces mesures. L’impression de se faire voler son pouvoir d’achat, ça crée une vraie colère.

  132. Moi, je me demande si l’État pense aux artisans et aux petits commerçants qui dépendent de leur véhicule utilitaire ? C’est leur outil de travail, pas un luxe.

  133. Nathalie Bernard

    J’ai vendu ma vieille diesel l’année dernière. Le prix était dérisoire, mais au moins je suis tranquille. Anticiper, c’est déjà encaisser un peu moins le choc.

  134. Je suis fatigué d’entendre toujours les mêmes rengaines. On dirait qu’on découvre la lune à chaque nouvelle taxe. Le réchauffement climatique, on en parle quand ?

  135. Je comprends l’objectif, mais j’ai peur que ça divise encore plus la société entre ceux qui peuvent s’adapter et les autres.

  136. Franchement, j’ai l’impression qu’on nous prend pour des vaches à lait. On finance la transition, ok, mais à quel prix pour nos familles ?

  137. J’ai toujours l’impression qu’on punit les gens qui n’ont pas les moyens d’habiter en centre-ville.

    C’est facile de dire « prenez le vélo » quand on vit à côté de son travail.

  138. J’ai l’impression que c’est toujours les mêmes qui trinquent. On demande des efforts, mais on ne propose pas d’alternatives concrètes et abordables pour tous.

  139. Valérie Bernard

    On parle beaucoup du coût pour nous, mais rarement des bénéfices potentiels à long terme pour nos enfants. C’est ça qui me motive à faire des efforts, même si c’est dur.

  140. Je pense qu’on oublie souvent le coût de la pollution sur notre santé. Les taxes, c’est peut-être aussi un investissement dans notre bien-être futur.

  141. Brigitte Bernard

    C’est marrant, on dirait qu’on découvre que la voiture coûte cher. On s’étonne, mais ça fait des années que c’est une évidence, non ?

  142. J’ai l’impression que l’écologie devient un luxe. Comment faire quand on a un petit salaire et qu’on dépend de sa voiture pour bosser ?

  143. Ça me rappelle quand j’ai dû choisir entre réparer ma vieille voiture ou payer ma facture d’électricité. L’écologie, c’est bien, mais la réalité, c’est souvent un choix impossible.

  144. Florence Bernard

    Personnellement, je me demande si ces taxes ne vont pas encourager une économie parallèle. Qui va contrôler les ventes de carburant entre particuliers ?

  145. Huguette Bernard

    Franchement, je me demande si on ne tape pas trop vite sur le porte-monnaie avant d’avoir vraiment rendu les transports en commun attrayants partout.

  146. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la fracture territoriale. On dirait qu’on oublie ceux qui vivent à la campagne, loin de tout, et qui n’ont pas d’autre choix que la voiture.

  147. Jacqueline Bernard

    Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de taxes, jamais d’alternatives concrètes et abordables pour *tous*. On dirait qu’on punit avant d’aider.

  148. Moi, ça me fait penser aux vélos électriques subventionnés à gogo. Super pour les villes, mais pour trimballer mes outils sur les chantiers, ça aide pas !

  149. J’ai l’impression qu’on nous prend vraiment pour des pigeons. On nous dit « transition », mais on nous demande surtout de payer. On est où, l’accompagnement ?

  150. J’ai revendu ma bagnole il y a deux ans. Le covoiturage et le train, c’est pas toujours simple, mais au moins, je dors mieux la nuit.

  151. Je suis artisan et je travaille sur plusieurs communes. Je me demande comment je vais faire pour continuer à vivre de mon travail.

  152. Je comprends la grogne. Mais je me souviens des étés où on ne pouvait même plus ouvrir les fenêtres à cause de la pollution. On oublie vite…

  153. Guillaume Dubois

    J’ai l’impression qu’on oppose toujours « voiture » et « écologie ». Comme si on ne pouvait pas avoir les deux. On pourrait pas imaginer des voitures moins polluantes, plutôt que de juste taxer ?

  154. Je suis fatigué d’entendre toujours les mêmes rengaines. On dirait qu’on découvre la pollution et le réchauffement climatique aujourd’hui. Fallait y penser avant, non ?

  155. Ce que je trouve dommage, c’est qu’on dirait que la voiture est devenue un luxe. Bientôt, seuls les plus riches pourront se permettre de se déplacer librement.

  156. J’ai peur que ces mesures ne touchent surtout ceux qui n’ont pas les moyens de changer de véhicule. C’est facile de parler de transition quand on a une borne de recharge dans son garage.

  157. J’ai l’impression qu’on nous demande de changer nos habitudes sans nous proposer d’alternatives viables partout. Le vélo, c’est bien, mais pas quand tu habites à 30 bornes de ton boulot.

  158. Franchement, je me demande si la transition énergétique ne devrait pas d’abord passer par les entreprises, avant de taper constamment sur les particuliers.

  159. Moi, ce qui m’inquiète le plus, c’est l’impact sur le tourisme local. Les gens vont-ils encore venir visiter nos régions si ça devient trop cher de se déplacer ?

  160. Moi, j’ai surtout peur que ça crée des tensions entre les villes et les campagnes. On dirait que les citadins donnent des leçons, mais ils ont plus d’options.

  161. Ça me fait penser aux agriculteurs qui manifestent… on a l’impression que personne n’écoute vraiment ceux qui sont touchés de plein fouet.

  162. J’ai l’impression qu’on focalise beaucoup sur le coût direct, mais qu’en est-il des conséquences sur l’emploi, surtout dans les zones rurales ?

  163. Sébastien Dubois

    J’ai l’impression qu’on oublie que beaucoup de gens sont déjà à l’os financièrement. Une énième taxe, c’est la goutte d’eau.

    Ça me rappelle mon père qui a gardé sa vieille bagnole 20 ans.

  164. On parle toujours de taxe, mais jamais des aides pour les voitures électriques d’occasion. C’est ça qui pourrait vraiment aider les gens à changer.

  165. Moi, je trouve qu’on se plaint beaucoup, mais on profite bien des routes et de l’essence pas chère depuis des années. Faut bien payer la facture un jour, non ?

  166. Alexandre Dubois

    C’est pas tant l’argent le problème, c’est qu’on a l’impression d’être pris pour des pigeons sans qu’on nous explique vraiment où va cet argent.

  167. Moi, ce qui me frappe, c’est que tout le monde râle, mais personne ne parle de covoiturage… Y’a des solutions toutes simples, parfois.

  168. Je me demande si on réalise à quel point c’est usant, cette impression constante d’être étranglé financièrement. On finit par se sentir impuissant, à force.

  169. François Dubois

    Je suis en colère. On nous parle de transition, mais on ne nous donne pas les moyens. Ma voiture, je dois l’utiliser pour aller bosser, il n’y a pas d’autre solution.

  170. Grégoire Dubois

    On nous demande de changer, mais c’est un luxe que tout le monde ne peut pas se permettre. Pour certains, la voiture, c’est déjà le minimum vital.

  171. Moi, je suis surtout inquiet pour les artisans et les petits commerçants qui dépendent de leur camionnette. Comment ils vont faire ?

  172. Perso, je pense que le problème, c’est qu’on ne valorise pas assez ceux qui font déjà des efforts. Une prime pour les petits rouleurs, ça encouragerait peut-être plus les changements.

  173. Et pendant ce temps, les entreprises qui polluent à mort continuent comme si de rien n’était… C’est toujours aux mêmes de payer, c’est ça le plus rageant.

  174. Béatrice Dubois

    Je me demande si cette pression financière ne va pas simplement inciter les gens à garder leurs vieilles voitures plus longtemps, ce qui serait contre-productif pour l’environnement.

  175. C’est vrai que ça râle beaucoup, mais je me dis qu’on a aussi une responsabilité, non ? Peut-être qu’au lieu de toujours se plaindre, on pourrait chercher des alternatives.

  176. Gabrielle Dubois

    Moi, ce qui m’énerve, c’est qu’on parle toujours de taxe et jamais d’investissement massif dans les transports en commun de qualité.

  177. Je me demande si ces taxes sont vraiment justes quand on voit les différences de revenus en France. C’est facile de parler d’écologie quand on a les moyens.

  178. Tout ça me fait penser à ma grand-mère qui disait : « On serre la vis, on serre la vis, jusqu’à ce qu’elle casse ». J’espère qu’on ne va pas tous craquer.

  179. Je comprends la logique derrière, mais j’ai du mal à voir comment je vais faire covoiturer mes enfants à l’école et aller au travail sans voiture.

  180. Personnellement, je trouve qu’on diabolise trop l’automobiliste. On oublie le plaisir de conduire, la liberté que ça procure. C’est pas juste une question de besoin.

  181. On nous parle toujours de punir, jamais d’aider concrètement à changer nos habitudes. Des primes à la conversion plus simples, par exemple?

  182. Je ne crois pas que l’objectif soit d’empêcher les gens de se déplacer, mais de les inciter à réfléchir à leurs trajets. Est-ce qu’on peut vraiment faire autrement, parfois ?

  183. Je suis fatigué d’entendre que le seul problème est l’argent. C’est aussi une question de temps perdu dans les transports en commun bondés, et ça, ça n’a pas de prix.

  184. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les artisans et les petits commerces qui dépendent de leurs véhicules pour travailler. On pense toujours aux trajets perso, mais le pro ?

  185. Franchement, j’ai l’impression qu’on est pris en otage. On nous dit « transition écologique » mais c’est surtout une transition vers moins de pouvoir d’achat pour beaucoup.

  186. Et si, au lieu de toujours regarder ce qu’on perd, on imaginait les innovations que ça pourrait créer ? Peut-être qu’on va enfin trouver des alternatives ingénieuses.

  187. Et si on arrêtait de culpabiliser les gens et qu’on montrait plus les efforts des constructeurs pour des voitures moins polluantes ?

  188. Catherine Dubois

    Honnêtement, j’ai surtout peur que ça creuse encore plus les inégalités territoriales. Ceux qui peuvent télétravailler ou vivre en centre-ville s’en sortiront toujours mieux.

  189. Moi, ce qui me frappe, c’est le timing. On nous annonce ça maintenant, alors qu’on sort à peine d’une période d’inflation galopante. On n’a pas le temps de se remettre à flot.

  190. Personnellement, je ressens surtout une forme de découragement. On a l’impression que la voiture est devenue un luxe inaccessible, alors que pour beaucoup, c’est une nécessité, pas un plaisir.

  191. Je me demande si on a vraiment évalué l’impact de ces mesures sur les familles monoparentales. Tout augmente, et pour certains, changer de voiture n’est pas une option.

  192. J’ai l’impression que l’État oublie que l’électrique reste hors de portée pour beaucoup. On nous pousse à changer, mais avec quel argent ?

  193. Jacqueline Dubois

    Je ne comprends pas pourquoi on ne parle jamais des entreprises qui polluent le plus. On dirait que les particuliers sont les seuls responsables du réchauffement climatique.

  194. Franchement, je me demande si ces taxes sont la bonne solution. J’ai l’impression qu’on tape sur le symptôme, pas sur la cause.

  195. Je trouve qu’on stigmatise trop la voiture. C’est pas toujours un choix, c’est parfois la seule option pour bosser.

    Et puis, on dirait qu’on oublie tous les artisans, les livreurs, ceux qui font tourner le pays.

  196. On parle beaucoup des déplacements domicile-travail, mais moi je pense à mes parents à la campagne. La voiture, c’est leur lien social, leur moyen d’aller faire les courses ou voir le médecin.

  197. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la revente de ma voiture actuelle. Qui va vouloir l’acheter avec ces nouvelles taxes ? On va perdre de l’argent.

  198. Guillaume Durand

    Et si on investissait massivement dans les transports en commun en zone rurale au lieu de toujours ponctionner les mêmes ? Ça profiterait à tous.

  199. Moi, je roule à vélo. Mais je vois bien que c’est pas possible pour tout le monde, surtout avec des enfants ou des horaires décalés. On crée deux mondes.

  200. Ma vieille bagnole, je l’aime bien, elle me sert. Je suis pas sûr qu’elle passe le contrôle technique longtemps avec ces histoires.

  201. Je suis curieux de voir si cet argent sera vraiment utilisé pour des alternatives crédibles. J’ai peur que ça parte dans le trou noir des finances publiques.

  202. Franchement, j’ai l’impression qu’on dézingue la bagnole sans penser aux conséquences sur le tissu économique local. Qui va encore embaucher quelqu’un qui habite loin maintenant ?

  203. C’est sûr que ça va changer des habitudes. J’espère juste que ça motivera les constructeurs à enfin proposer des voitures électriques abordables.

  204. J’ai l’impression qu’on oublie trop souvent que la voiture, c’est aussi une question de liberté. On nous parle de transition, mais la contrainte financière, ça n’aide pas à adhérer.

  205. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de taxe, jamais d’incitation.
    On dirait qu’on ne cherche qu’à punir au lieu d’aider.
    Finalement, c’est un peu facile de taper sur ceux qui n’ont pas le choix.

  206. C’est toujours la même rengaine. On taxe, on taxe, mais la qualité de l’air, elle, ne s’améliore pas significativement. On dirait un pansement sur une jambe de bois.

  207. J’ai vendu ma voiture il y a deux ans et je ne regrette pas. Le vélo en ville, c’est plus rapide et moins stressant. Cette taxe ne me concerne plus directement, mais je comprends la colère de ceux qui n’ont pas d’alternative.

  208. Sébastien Durand

    J’habite en zone rurale. Sans voiture, je ne peux littéralement pas travailler. On nous demande de nous adapter, mais comment ?

  209. Moi, j’ai surtout peur de l’effet domino. Hausse du carburant = hausse des prix des produits qu’on consomme. On va se retrouver à payer plus cher pour tout.

  210. Alexandre Durand

    Je comprends les objectifs, mais j’ai peur que ces taxes ne touchent surtout les classes moyennes qui se serrent déjà la ceinture.

  211. J’ai l’impression qu’on stigmatise les automobilistes comme si c’était une passion, alors que c’est souvent une nécessité subie.

  212. Christophe Durand

    Franchement, je me demande si l’État a conscience de la galère pour beaucoup. Ils vivent peut-être dans un monde où la voiture électrique est accessible à tous.

  213. Et si on commençait par rendre les transports en commun vraiment efficaces et abordables, partout ? Avant de punir, on pourrait proposer une vraie alternative.

  214. On parle beaucoup des automobilistes, mais on oublie les conséquences sur les petits commerçants qui dépendent des gens venant de l’extérieur.

  215. François Durand

    Je suis prêt à faire des efforts pour l’environnement, mais j’ai l’impression que cette politique se focalise uniquement sur la culpabilisation du consommateur, sans s’attaquer aux vraies causes de la pollution industrielle.

  216. Grégoire Durand

    J’ai l’impression que c’est toujours la même rengaine. On tape sur les mêmes et on espère que ça change quelque chose… Perso, je vais juste rouler moins.

  217. Je suis surtout inquiet pour l’avenir de nos jeunes. Comment vont-ils faire pour trouver un premier emploi si se déplacer devient un luxe ?

  218. Je me demande si l’argent récolté sera vraiment utilisé pour une transition écologique concrète et transparente. J’aimerais bien voir où il va, cet argent.

  219. Moi, je me demande si ces taxes vont vraiment inciter les constructeurs à proposer des voitures électriques moins chères et plus accessibles, ou si on va juste continuer à payer plus cher pour la même chose.

  220. Moi, j’essaie de voir le bon côté : peut-être que ça va m’obliger à enfin prendre mon vélo plus souvent. Un peu d’exercice ne fera pas de mal.

  221. J’habite en zone rurale, la voiture est juste indispensable. On nous demande de faire des sacrifices, mais on ne nous donne pas les moyens de faire autrement.

  222. Franchement, j’ai l’impression qu’on nous prend pour des vaches à lait. On nous parle transition, mais est-ce qu’on a vraiment le choix ?

  223. Gabrielle Durand

    Je ne suis pas contre l’idée, mais j’espère que l’État pense à ceux qui ont des horaires atypiques ou qui travaillent de nuit. On n’a pas toujours le choix du transport.

  224. Ces taxes, c’est le serpent qui se mord la queue. Plus on taxe, plus les gens gardent leurs vieilles voitures polluantes. Où est la logique ?

  225. Et si l’État investissait vraiment dans des alternatives crédibles avant de nous matraquer ? Les covoiturages organisés, ça existe !

  226. Et si on parlait de l’impact sur les petits commerces ? Moins de clients qui se déplacent, c’est moins de chiffre d’affaires pour eux.

  227. Je crois qu’on oublie trop souvent l’impact psychologique. Conduire, c’est aussi une forme de liberté, qu’on nous rogne petit à petit.

  228. Moi, j’ai surtout peur de l’isolement que ça va créer dans les zones rurales. Sans voiture, comment on fait pour aller voir la famille ?

  229. C’est facile de taper sur les automobilistes. Mais qu’en est-il des entreprises qui bénéficient de ces déplacements ? Elles devraient aussi contribuer, non ?

  230. En tant que citadin, je me demande si ces taxes ne vont pas simplement accentuer les inégalités territoriales, en privilégiant les centres-villes déjà bien desservis.

  231. C’est surtout l’impression qu’on ne tient pas compte de la diversité de nos situations. Ma vieille voiture, je l’entretiens, elle roule encore… Je ne peux pas juste la remplacer du jour au lendemain.

  232. Je me demande si cette transition énergétique ne risque pas de créer une fracture entre ceux qui peuvent s’adapter et les autres. On oublie vite que tout le monde n’a pas les mêmes opportunités.

  233. Je ne suis pas contre la transition, mais j’aimerais voir plus de transparence sur l’utilisation concrète de cet argent. Où va-t-il vraiment ?

  234. Jacqueline Durand

    On dirait qu’on punit ceux qui n’ont pas les moyens de faire autrement. C’est facile de parler de transition quand on a un salaire confortable.

  235. Moi, je me demande si on a vraiment évalué l’impact de ces mesures sur les petites entreprises qui dépendent de leurs véhicules utilitaires.

  236. J’ai l’impression que le gouvernement oublie qu’on ne vit pas tous dans des grandes villes avec un métro à chaque coin de rue.

  237. Personnellement, je crains que ces taxes n’alimentent encore plus le sentiment de fracture entre les villes et la campagne. On crée deux vitesses.

  238. Franchement, j’en ai marre d’entendre toujours les mêmes complaintes. On dirait qu’on découvre la pollution et le réchauffement climatique. Faut bien payer la facture un jour.

  239. C’est toujours les mêmes qui trinquent, non ? On dirait un cercle vicieux.

    Plutôt que de taxer, pourquoi ne pas encourager activement des solutions alternatives *abordables* ?

    Au final, j’ai surtout peur que ça ne change rien aux comportements, juste à nos finances.

  240. J’envisage sérieusement de changer de voiture… mais je crains l’arnaque à l’achat d’occasion « électrique ». On est vraiment bien conseillés, nous, les particuliers ?

  241. Je pense qu’on se focalise trop sur l’aspect financier immédiat. Il faut aussi voir ce qu’on laisse à nos enfants. L’inaction coûte bien plus cher, à long terme.

  242. Je me demande si ces taxes vont vraiment inciter les constructeurs à innover plus vite pour proposer des voitures électriques *vraiment* accessibles à tous.

  243. Je me demande si l’État a vraiment calculé l’impact psychologique de ces annonces à répétition. On finit par se sentir impuissants.

  244. Moi, ce qui me frappe, c’est le manque de pédagogie. On subit ces décisions sans comprendre le pourquoi du comment. On dirait qu’on nous prend pour des vaches à lait.

  245. Je me demande si l’État a pensé aux artisans et aux professions libérales qui dépendent de leur véhicule pour travailler ? C’est pas juste une question de « déplacement quotidien ».

  246. Je me demande si, au lieu de nous taper dessus, l’État ne ferait pas mieux de mieux réguler les prix à la pompe. On sent bien qu’il y a des marges qui ne sont pas justifiées.

  247. Et si on arrêtait de se plaindre et qu’on se mettait à réfléchir à des solutions concrètes pour covoiturer ? Y’a sûrement moyen de s’organiser.

  248. Franchement, j’ai peur que ça crée encore plus de tensions entre les villes et les campagnes. On n’a pas tous le choix d’habiter près des transports en commun.

  249. Le pire, c’est qu’on dirait qu’ils oublient ceux qui ont acheté une voiture « normale » il y a à peine quelques années, en suivant leurs conseils. C’est un peu nous prendre pour des idiots.

  250. J’ai l’impression qu’on nous pousse à la faute. On nous dit que c’est pour le bien de la planète, mais on a l’impression qu’on nous punit.

  251. J’ai l’impression qu’on oublie que changer de voiture, ça coûte aussi. L’électrique, c’est pas donné à tout le monde, même avec les aides.

  252. C’est toujours la même rengaine. On tape sur les automobilistes, mais on encourage pas vraiment d’alternatives viables en dehors des grandes villes.

  253. Je suis surtout inquiet pour mes enfants. Comment vont-ils faire pour s’installer et se déplacer plus tard avec de telles contraintes financières ?

  254. Moi, ce qui m’inquiète le plus, c’est la complexité de toutes ces mesures. On s’y perd! Difficile de faire des choix éclairés.

  255. J’ai l’impression que ces taxes ignorent le travailleur de nuit ou celui qui a des horaires atypiques. On ne choisit pas tous nos horaires.

  256. C’est facile de taper sur l’auto, mais sans voiture, comment je fais pour aller voir ma mère à la campagne ? Elle n’a plus personne d’autre.

  257. Et si on parlait des entreprises qui polluent vraiment ? On dirait que les efforts demandés sont toujours concentrés sur le citoyen lambda.

  258. Franchement, je suis surtout fatigué de toujours entendre parler de ça. Y’a pas d’autres sujets plus joyeux ?

    On dirait que la voiture est devenue l’ennemi public numéro un.

  259. Moi, ça me rappelle surtout l’époque où mes parents se serraient la ceinture pour payer l’essence. L’histoire se répète, quoi.

  260. J’ai l’impression qu’on nous présente toujours la voiture comme un luxe, alors que pour beaucoup, c’est juste un outil de travail indispensable.

  261. J’ai vendu ma vieille voiture et pris un vélo électrique. Au début, c’était un sacrifice, mais finalement, je me sens moins stressé et je fais de l’exercice.

  262. J’ai l’impression que la voiture électrique est présentée comme la solution miracle, mais son prix reste hors de portée pour beaucoup. On nous demande de changer, mais sans les moyens, c’est compliqué.

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